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DANGER DE LA ROUTE!

gestioncssr.com

1- Animaux

2- corridor de sécurité.

3- Travaux

4- Conduite de nuit

5- Conduite hivernal

6- Chemin de campagne

7- La fatigue

8- La vigilance

9- Rage au volant 

10- en cas d'accident

11- Si les freins manquent

1- Animaux

  

Vivre à la campagne, ça vient avec ses bons et ses mauvais côtés!

Que faire en présence d’animaux sur la route?


Souvent on ne les voit pas et tout d’un coup ils apparaissent!


Mieux vaut ralentir et intervenir au besoin. Les animaux sauvages comme le chevreuil et l’orignal pour ne nommer que ceux-ci sont des animaux imprévisibles et souvent ils figent devant votre voiture. Au besoin, arrêtez et laissez-les s’éloigner.


Pour les animaux de ferme ou domestiques, chevaux, vaches, chiens, etc. Il faut ralentir aussi et/ou les éviter évidemment.


Si vous êtes près d’une ferme équestre et voyez des cavaliers sur des chevaux, évitez de klaxonner. L’animal pourrait s’affoler, et désarçonner le cavalier.


2- Corridor de sécurité

   

Les corridors de sécurité sont, comme ils le disent, nécessaires à la sécurité des travailleurs, quels qu’ils soient et à tous les gens qui font un arrêt d’urgence sur le bord de la route.


Que ce soient les policiers, les pompiers, les ambulanciers, les remorqueurs ou les camions de travaux routiers et tous ceux qui doivent s’arrêter sur la bordure, tous ces gens peuvent être appelés à bouger vite afin de se mettre en sécurité.


En changeant de voie ou en gardant une distance raisonnable, vous pourriez leur sauver la vie.

3- Travaux

 

Dans les zones de travaux, il faut être extrêmement prudent.


Les travailleurs ont droit à un environnement sécuritaire, et les véhicules autour de vous aussi.

 Respecter la signalisation prend toute son importance et la courtoisie de même.

Le non-respect des consignes peut devenir catastrophique.


On le sait, tous le monde est toujours pressé, mais provoquer l’accident ne vous mènera pas plus vite à destination au contraire, cela ne contribuera qu’à vous ralentir vous-mêmes ainsi que tous les autres. 


La signalisation orange, à toujours priorité sur tout le reste, les limites de vitesse sont fixées selon la nature et l’ampleur du chantier afin de rendre le tout sécuritaire, donc respectez là, et la courtoisie ne peut faire que bon ménage si vous en faite usage avec discernement.


En cas de retranchement d’une voie, optez pour la formation zipper, un à gauche, un à droite et ainsi de suite. 


La circulation en sera ralentie tout de même, mais beaucoup moins. 

En essayant de forcer le passage, vous ne faites que contribuer à encore plus d’engorgement et plus de retard, en plus de vous mettre vous et les autres en danger.


À bon entendeur… Bonne route!

4- CONDUITE DE NUIT

 

CONDUITE DE NUIT : RISQUES ET PRÉCAUTIONS

La conduite de nuit peut s’avérer difficile dans certaines conditions. Les yeux discernent moins bien les couleurs et la vision devient limitée. 


Que ce soit l’éblouissement des phares ou les conditions météorologiques. Lorsqu’un véhicule à proximité surgit, que ce soit devant ou derrière votre véhicule, les phares peuvent vous éblouir. L’automobiliste peut alors être aveuglé pendant plusieurs secondes.


De plus, un temps pluvieux peut nuire gravement à la visibilité d’un conducteur. Pourtant, il est indispensable de prendre des mesures nécessaires pour garder la maîtrise de son véhicule et limiter les risques d’accidents.


Tout le monde en a déjà fait l’expérience : lorsque l’on conduit de nuit, on ne perçoit les obstacles qu’au dernier moment.

Les risques?


Visibilité réduite : La nuit, on peut constater une atténuation de la vision des contrastes et des reliefs. De plus, certains facteurs peuvent diminuer notre visibilité comme la pluie. De nombreux détails visibles le jour échappe aux automobilistes la nuit, ce qui entraîne une augmentation du temps de réflexe. L’œil humain n’est pas conçu pour voir dans l’obscurité.


Éblouissement : En conduisant la nuit, l’automobiliste est soit plongé dans le noir, soit ébloui par les lumières trop fortes des phares des voitures venant d’en face.


Au moment du croisement de deux véhicules, le conducteur peut être totalement aveuglé pendant quelques secondes, d’autant plus si le véhicule en face est sur les feux de route et non les feux de croisement.


Sachant que la plupart des informations nécessaires à une bonne conduite passent par la vue, on comprend alors le réel danger à prendre la route la nuit. Bien voir de jour comme de nuit et cela, dans n’importe quelles conditions météorologiques, est donc primordial.


Fatigue : Les risques de fatigues sont d’autant plus élevés la nuit. À commencer par la somnolence au volant. Conduire de nuit fatigue l’organisme et augmente le risque d’accident.


Astuces


Ne fixez jamais le véhicule qui vous éblouit de face. Regardez à droite, à l’opposé du faisceau lumineux des phares et essayez de regarder la ligne blanche sur le côté droit de la route.  


Si le véhicule est derrière, baissez votre rétroviseur intérieur en position de nuit et ajustez quelques instants vos rétroviseurs extérieurs pour détourner le faisceau de votre visage. 


Avant de prendre la route de nuit, nettoyez vos vitres. Plus le pare-brise et la lunette arrière sont sales, plus la visibilité est mauvaise. Par ailleurs, la pollution fait rayonner le flash ce qui accentue l’effet d’éblouissement.


Réglez vos phares et utilisez-les correctement (que ce soient les feux de route, feux de croisement, ou phares antibrouillard). Lorsque vous éblouissez les autres véhicules, certains conducteurs ont le réflexe de vous éblouir en retour en vous faisant notamment des appels de phares.


Faites des pauses ! Cela est très important, d’autant plus si votre trajet est long. Il est important de se sentir en forme et non fatigué lorsque vous conduisez la nuit.


Risque de pluie!


Par mauvais temps, les risques de perte de contrôle du véhicule sont effectivement accrus : chaussées glissantes, visibilité amoindrie par la pluie et les projections d’eau par les autres véhicules, éblouissements dus aux phares, réverbération de la lumière sur l’eau, mauvaise appréciation des distances…


Ainsi, pour améliorer sa vision sous la pluie et mieux anticiper les dangers, il convient de vérifier régulièrement le bon état de fonctionnement des essuie-glaces, ainsi que l’usure et la pression des pneus pour prévenir les risques d’aquaplanage.


Là encore, le respect des limitations de vitesses, abaissées en cas de mauvaises conditions météorologiques, et des distances revêt toute son importance.


Voir et être vu sont essentiels en cas de pluie. L’allumage des feux de croisement et de brouillard avant est extrêmement important tout comme l’évacuation de la buée accumulée sur les vitres en utilisant la ventilation.


Conduite hivernale

La conduite hivernale

https://saaq.gouv.qc.ca/securite-routiere/moyens-deplacement/auto/conduite-hivernale 

CONDUITE HIVERNALE EN AUTO

En hiver, les conducteurs doivent adapter leur conduite aux conditions météorologiques et routières. Selon le Code de la sécurité routière, le conducteur doit diminuer sa vitesse lorsque la visibilité est réduite à cause de l'obscurité, du brouillard, de la pluie ou de précipitations, ou lorsque la chaussée est glissante ou qu’elle n'est pas entièrement dégagée.


POUR UNE CONDUITE NON ADAPTÉE

  • Amende de 60 $, plus les frais
  • 2 points d'inaptitude


POUR ÉVITER LES SURPRISES DE L'HIVER

  • Munissez-vous d’une trousse (balai à neige, grattoir, lave-glace, pelle, etc.) et conservez-la dans votre véhicule.
  • Avant de prendre la route, déglacez et déneigez complètement votre véhicule.
  • Sur la route, diminuez votre vitesse et      maintenez une distance sécuritaire entre votre véhicule et celui qui      vous précède, particulièrement lorsque la visibilité est réduite ou que la chaussée est glissante. En tout temps, méfiez-vous de la glace noire.
  • Allumez toujours vos feux de position et vos feux de croisement (les « basses ») quand le temps est sombre.
  • Si possible, reportez votre déplacement si les conditions routières sont mauvaises.

PLANIFICATION DES DÉPLACEMENTS

Avant de prendre la route, vérifiez si vous pouvez le faire en toute sécurité en consultant :

  • Québec 511 Info Transports Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre pour l'état du réseau routier

CIRCULER DANS UN « IGLOO MOBILE », C'EST DANGEREUX ET INTERDIT!

Le pare-brise et les vitres du véhicule doivent être libres de matières pouvant nuire à la visibilité du conducteur. Un agent de la paix peut remettre au conducteur une amende de 100 $ à 200 $ plus les frais et exiger le nettoyage ou le dégagement des vitres et du pare-brise lorsqu’une matière nuit à la visibilité du conducteur. Ce dernier doit se conformer à cette exigence.

Par ailleurs, il est interdit de circuler avec un véhicule couvert de neige, de glace ou de toute autre matière pouvant s’en détacher et susceptible de présenter un danger pour les usagers de la route. L’amende prévue est de 60 $ à 100 $ plus les frais.


ATTENTION AU MONOXYDE DE CARBONE

Quand votre véhicule est enseveli sous la neige, il faut éviter de démarrer le moteur, d’activer la ventilation et de rester à l’intérieur du véhicule. Sinon, vous vous exposez à une intoxication au monoxyde de carbone, qui peut entraîner des problèmes de santé et dans les cas extrêmes, la mort.

Le monoxyde de carbone est un gaz sournois, car il est inodore. Il se propage dans l’habà dégager de temps à autre la neige du tuyau d’échappement et à ventiler l’habitacle

  • Dans un abri d’auto ou un garage, méfiez-vous si votre moteur est en marche, car le monoxyde de carbone, c’est toxique!itacle sans qu’on s’en rende compte. C’est pourquoi il est important de toujours déneiger le véhicule avant de s’y installer. De cette façon, vous vous assurez notamment que le tuyau d’échappement est dégagé et que l’air qui circule dans l’habitacle est sain.


6- Chemin de campagne

  

Chemin de campagne, route de terre et chemin de gravier

Prudence!

Comme il est agréable d’aller se promener en campagne quand il fait beau, on roule lentement, on profite du paysage…


Mais votre balade tranquille peut se transformer en catastrophe si vous ne faites pas attention!


Comme pour tous les chemins, ces routes aussi comportent aussi des risques.


Premièrement,

Vous êtes sur le territoire des animaux… Ils peuvent surgir à tout moment, et causer des dommages sur votre véhicule ou causer des accidents.


Deuxièmement,

L’état des routes peut laisser à désirer.

Les chemins asphaltés peuvent être en mauvais état, causer des bris et des crevaisons.


Les chemins de gravier, eux, peuvent ressembler a une planche à laver (être très raboteux), mal tapé, donc le gravier se déplace et roule sous vos pneus ce qui peut vous faire perdre le contrôle, et il peut y avoir des trous de différentes grosseurs, voir même avoir des pointes de roche qui dépassent en hauteur.


Pour les chemins de terre battue, la terre peut se déplacer sous vos pneus comme les chemins de gravier, il peut y avoir aussi des pointes de roche, et attention aux flaques d’eau et de boue…on ne sait jamais la profondeur qu’ils ont, mais aussi ils peuvent vous faire déraper où vous enliser bien comme il faut.


En terrain montagneux, tout en pente et sinueux, il faut faire  attention aux sorties et entrés caché tout comme aux chemins de travers et ceux qui arrivent en diagonale qui sont souvent dure à voir.


Troisièmement,

Si les chemins sont près des cours d’eau ou des lacs, il y a risque de débordement après les pluies diluviennes qui risquent d’emporter des tronçons de chemin.


Alors tout en restant prudent…Bonne route!

Fatigue au volant

  

Fatigue au volant.

Le manque de sommeil affecte votre corps et peut augmenter le risque de collision. 


Les conducteurs fatigués peuvent n’avoir aucun souvenir d’avoir conduit pendant une période de leur trajet et ne pas se rendre compte qu’ils sont entre le rêve et la réalité.


Le mythe!

Monter le son de la musique, ouvrir les vitres de la voiture et manger n’ont aucun effet sur la fatigue du conducteur. 


Utilisez plutôt ces stratégies :

  • Prévoyez      à l’avance et assurez-vous de suffisamment vous reposer avant de conduire.
  • Sachez      reconnaitre les signes de fatigue.
  • Si vous      conduisez avec un autre passager, demandez-lui de prendre le relais.
  • Utilisez      le transport en commun, taxi ou co-voiturage.
  • Arrêtez-vous      en toute sécurité, garez-vous et faites une sieste avant de reprendre la      route. 
  • Restez      à coucher (chez un ami).

Mais surtout, ne surestimez pas vos capacités.

Bonne route!

CSSR

Fatiguer, arrêtez-vous!

8- Vigilance

  

La vigilance

Restez alerte!

On prend souvent les mêmes chemins pour aller au travail, à l’école, ou autres, et souvent on baisse notre vigilance due au fait que cela devient routinier, qu’il n’est jamais rien arrivé, et soudainement, un événement survient!


On ne sait jamais à quel moment un enfant peut traverser, un autre véhicule nous couper la route, un chevreuil peut bondir devant nous…


Il est important de rester vigilant au volant en tout temps.


Si on baisse la garde, notre temps de réaction peut être plus long et mal synchronisé avec les événements ou trop brusque, ce qui mènera  aussi à l’accident.


Quand on conduit, la vigilance tout comme la prudence doivent toujours être une priorité.


Gardez à l’esprit qu’un accident est très vite arrivé, il suffit d’une demi-seconde de distraction pour qu’il arrive une catastrophe!


Sur ce, bonne route!

CSSR

9- Rage au volant

  

10 bons trucs pour prévenir la rage au volant 


La rage au volant est un problème grandissant. Beaucoup de personnes ont les nerfs à vif, le monde du travail et l’économie en crise, sans parler des bouleversements dans le quotidien familial.  


Les gestes dangereux sont en hausse car certains conducteurs téméraires y voient une liberté à saisir. Quant aux travaux et à la congestion des heures de pointe, il y en aura toujours.


Avec autant de situations stressantes ou enrageantes, comment rester calme au volant et éviter que les choses dégénèrent? Voici quelques bons conseils…


1. Allouez-vous plus de temps

La rage au volant provient souvent du fait qu’on se sente stressé et pressé. Prévoyez donc un peu plus de temps pour vos déplacements, ce qui vous fera rouler moins vite et plus en contrôle.


2. Évitez de talonner et de couper la circulation

Saviez-vous que 30% des altercations sur la route qui déclenchent des agressions physiques débutent par du talonnage de trop près et des dépassements brusques? Si vous êtes patient et que votre clignotant est bien actionné, une personne courtoise vous cédera la voie plus rapidement que vous le croyez.


3. Gardez votre sang-froid et faites preuve de retenue

Chaque déplacement sur la route peut apporter de la frustration et des conflits, alors démontrez de la patience au volant en évitant d’utiliser votre klaxon ou de gesticuler de manière abusive. À la place, prenez de grandes respirations, ce qui diminuera votre pouls et votre tension.


4. Réfléchissez au lieu de vous laisser emporter

La raison doit toujours l’emporter sur les émotions. Freiner soudainement pour faire peur à l’automobiliste qui vous suit de trop près ne fait qu’augmenter le risque d’accident. Si une personne ne roule pas assez vite à votre goût, regardez la limite de vitesse; c’est peut-être vous qui êtes en excès. Sinon, il peut s’agir d’un conducteur novice ou peu familier avec le secteur, alors mieux vaut ne pas accroître leur stress et empirer les choses.


5. Ignorez les mauvais comportements

Si la conduite d’un autre automobiliste ne répond pas à vos standards, éloignez-vous tout simplement. N’essayez pas de lui donner une leçon ou de lui faire prendre conscience de ses mauvais gestes en les reproduisant. La police est là pour pincer les fautifs. Votre rôle est de garder vos passagers et vous-même en sécurité sur la route.


6. Résistez à l’envie de prendre votre revanche

Les autres usagers de la route ne vous connaissent pas et vous non plus. Il n’y a donc rien de personnel; c’est plutôt le contexte ou une situation en particulier qui déclenche des sentiments négatifs au volant envers les autres ou des gestes imprudents. Ne cherchez pas à ajouter de l’huile sur le feu et à prendre votre revanche.


7. Dites « merci » et « désolé »

Le savoir-vivre et les bons comportements incitent les autres automobilistes à faire de même. Sachez reconnaître vos erreurs (on en fait tous!) et vous excuser par un regard ou un geste. Ça aide à calmer le jeu et à éviter une confrontation.


8. Détendez-vous et changez-vous les idées

Créez une atmosphère relaxante dans votre auto en écoutant de la musique douce et en gardant une température confortable. Pris dans un bouchon? Vous ne pouvez pas faire grand-chose… à part vous changer les idées. La radio ou un livre audio peut vous aider, mais évitez tout ce qui risque de causer des distractions en conduisant, comme regarder votre cellulaire.


9. Au besoin, arrêtez-vous sur le bord de la route

Vos passagers sont trop bruyants et vous avez du mal à vous concentrer? Vos enfants crient et font du désordre sur la banquette? Rien ne sert d’endurer la situation et de laisser monter la frustration. Arrêtez-vous sur le bord de la route, mettez calmement les choses au clair et ramenez l’ordre à bord. Après tout, c’est vous le conducteur!

10. Protégez-vous


Si vous vous sentez sérieusement menacé par un autre conducteur, immobilisez votre voiture, verrouillez vos portières et appelez le 9-1-1. Vous pouvez sinon vous rendre au poste de police le plus près. Advenant qu’un conducteur enragé sorte de son véhicule, s’approche et vous menace, le fait d’appuyer sur le klaxon à répétition ou sans arrêt pourrait l’inciter à s’éloigner.


Source:  LE GUIDE DE L'AUTO19 JANVIER 2021

10- En cas d'accident

  


Lorsqu’un accident de la route survient, les conducteurs impliqués ont l’obligation de poser certains gestes.


S’arrêter


Vous devez rester sur les lieux de l’accident, même si la collision est légère. Vous pourrez ainsi constater les dommages ou apporter votre aide aux personnes qui en ont besoin. Sinon, vous pourriez devoir payer une amende ou même être accusé d’un crime.


Alerter les secours s’il y a des blessés


Si la vie d’une personne est en danger, vous devez lui venir en aide: vous pouvez lui apporter une aide physique, si vous en êtes capable, ou appeler les services d’urgence.


Vous devez aussi contacter les policiers, même si les blessures semblent mineures. Ils se chargeront de dresser le rapport d’accident qui sera transmis à la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ).


Des règles particulières s’appliquent si vous avez blessé ou tué un animal.


Échanger des informations avec l’autre conducteur

Si personne n’est blessé, vous n’avez pas à contacter les policiers. Toutefois, vous devez échanger certaines informations avec l’autre personne impliquée dans l’accident. Si vous ne le faites pas, vous pourriez recevoir une amende.


Les informations suivantes doivent être notées :

  • le nom et l’adresse du conducteur,
  • le numéro de permis de conduire du conducteur,
  • le nom et l’adresse du propriétaire du      véhicule inscrit au certificat d’immatriculation du véhicule,
  • le numéro de plaque d’immatriculation du      véhicule,
  • les informations apparaissant à l’attestation      d’assurance.


Vous pouvez remplir un constat amiable. C’est un formulaire qui vous permet de décrire l’accident et de consigner toutes les informations importantes.


Pour obtenir un constat amiable gratuit, vous pouvez :

  • commander un exemplaire sur le site d’Info assurance,
  • télécharger l’application du Groupement des assureurs automobiles,
  • demander à votre assureur privé.

Remplir un constat amiable ne veut pas dire que vous vous déclarez responsable de l’accident. Seul votre assureur peut déterminer votre responsabilité. Même les policiers appelés sur le lieu de l’accident ne le feront pas.


En cas de collision avec une voiture inoccupée ou un objet

Vous ne pouvez pas joindre le propriétaire ou celui-ci n’est pas proche du lieu de l’accident ? Vous devez obligatoirement communiquer avec le poste de police le plus près quand vous frappez quelque chose comme une voiture inoccupée ou un panneau de signalisation par exemple. Les policiers prendront alors les informations requises.


Source: Jurigo.ca

11 -Si les freins manquent?

  

-Si les freins manquent?

Quelle surprise lorsqu’on applique les freins et la pédale descend au plancher sans nous arrêter!


Pas de panique! Il faut agir vite tout en restant calme.


Si vous n’avez pas négligé le frein à main, il sera fonctionnel. 

Si vous avez un frein aux pieds, même chose.

Ils sont là en cas de pépin.


Lorsqu’on freine en urgence :

-Frein à main:

 -maintenez le bouton pour ne pas bloquer le frein.

Si le frein se bloque, vous ne pourrez pas contrôler votre freinage.


Tirez le frein juste assez pour vous ralentir en essayant de ne pas bloquer les roues sans raison valable.

Évidement s’il y a urgence extrême c’est une autre chose.

Un coup presque arrêter, prenez l’accotement, et appelez la dépanneuse.


Frein au pied:

 -Abaissez le frein de votre pied « gauche », comme le frein normal, juste assez pour vous ralentir!

-Collez-vous dans l’accotement et appelez la dépanneuse vous aussi.


Pour l’avoir expérimenté moi-même, l’expérience est stressante « et j’ai remercié la vie », le frein d’urgence était fonctionnel, s’il avait fait défaut, j’aurais fait 3 orphelins et une jeune veuve.


L’importance de bien entretenir  votre véhicule est primordiale.

Ça peut vous sauver la vie!


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