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Index

1- Coussin gonflable

2- Rapide et dangereux

3- Système ABS

4- Conduite Éco Gouv. du Canada

5- Erreurs fréquentes

6- Amaxophobie

7- Trousse d'urgence

8- Conduite avec TDAH

9- Autisme et conduite

10- L' anxiété et autisme

11- Parkinson

12- Inspection printanière

13- Premier véhicule

1- Coussin gonflable

 

Source: SAAQ
Coussins gonflables : une protection indispensable


Les coussins gonflables peuvent vous sauver la vie et réduisent les risques de blessures graves en cas de collision. Comme un coussin se déploie à une très grande vitesse, il faut respecter des consignes de sécurité de base.


Les coussins gonflables sont des dispositifs de sécurité éprouvés
Ils offrent une protection particulièrement efficace contre les chocs à la tête ou à la poitrine qui pourraient s'avérer très graves ou mortels.


En cas de collision, leur déploiement empêche le conducteur et le passager de se heurter la tête contre le volant, le tableau de bord, les vitres latérales ou le cadre de la porte.


Quelques statistiques
L'usage combiné des coussins gonflables et des ceintures de sécurité réduit de :

75 % les risques de blessures graves à la tête
66 % les risques de blessures graves à la poitrine
Consignes de sécurité pour les coussins frontaux
Position de conduite : maintenir plus de 25 cm entre le coussin et le milieu du sternum


Si votre position de conduite vous laisse moins de 25 centimètres entre le centre du volant et le milieu du sternum, il faut :

reculer votre siège le plus possible tout en étant capable d'atteindre facilement les pédales et de manier correctement le volant
incliner légèrement le dossier du siège vers l'arrière
incliner le volant vers le bas si cela est possible afin de diriger le coussin gonflable vers la poitrine plutôt que vers la tête et le cou


Comme le coussin se déploie à une très grande vitesse, il peut causer :

des brûlures superficielles
des coupures ou écorchures mineures
des contusions (bleus, ecchymoses)


Ce genre de blessures est moins grave qu'une fracture du crâne ou des lésions cérébrales ou thoraciques.


Jamais trop près des coussins gonflables : c'est la règle de base
Si les consignes de sécurité ne sont pas respectées, des blessures graves peuvent être causées par le déploiement des coussins gonflables.


Elles sont généralement attribuées au fait que la personne se trouvait trop près du coussin lorsqu'il a commencé à se déployer, et cela, sans égard à sa taille ou à son poids.


Coussins gonflables : attention aux enfants!
Ne placez jamais un bébé dans un siège de bébé sur le siège avant si le véhicule est muni d'un coussin gonflable du côté du passager, sauf si le coussin est désactivé et si le siège est installé selon les instructions de son fabricant.

Il est recommandé d'asseoir tout enfant de 12 ans et moins sur la banquette arrière du véhicule.


Coussins latéraux et rideaux gonflables
Si votre auto est équipée de coussins ou de rideaux gonflables latéraux, le siège d'auto pour enfants ne doit pas être installé dans leur zone de déploiement. Ce sera le cas si l'enfant s'appuie sur la portière pour dormir.

Les coussins gonflables latéraux peuvent être installés :

dans les portes (avant et arrière)
dans le dossier des sièges et le longeron supérieur du toit


Source::SAAQ.

2- Rapide et dangereux

 

Article de TVA nouvelle
Pour vous aider à comprendre le bon sens!


Rapides et dangereux: des centaines d'automobilistes pincés à plus de 200 km/h sur les routes du Québec
Le nombre de grands excès de vitesse est en baisse, mais il reste du travail à faire, selon les experts.


Dimanche, 10 novembre 2024 00:00

Pas moins de 208 automobilistes québécois ont été pincés alors qu’ils circulaient à au moins 200 km/h depuis 2018, a découvert Le Journal. Une vitesse à laquelle il est presque «impossible» de réagir à temps en cas de problème.


Le plus rapide d'entre eux, Charles Barsikhian, a atteint la vitesse ahurissante de 291 km/h, le 5 aout 2018, à Mirabel.


TOP 10 : LES PLUS PRESSÉS
Les infractions avec les vitesses captées les plus élevées
Vitesse captée Amende Nom et âge Lieu et date de l'infraction


1. 291 km/h 2 310 $ Charles BARSIKHIAN
36 ans Mirabel
5 août 2018


2. 252 km/h 1 830 $ Darryl DAVANCE
23 ans Saint-Jérôme
25 juin 2022


3. 252 km/h 1 830 $ Tye DAVANCE
22 ans Mirabel
17 juil. 2023


4. 245 km/h 1 890 $ Martin BOUGIE
52 ans Saint-Marc-de-Figuery
11 juil. 2021


5. 242 km/h 1 710 $ Keith CAMPANA
25 ans Saint-Lazare
08 nov. 2020


6. 241 km/h 1 710 $ Jocelyn GOUDREAU
54 ans Saint-Étienne-de-Bolton
7 juin 2020


7. 240 km/h 1 230 $ Yann BOURGUIGNON
34 ans Les Cèdres
1er juil. 2021


8. 238 km/h 1 650 $ Valerie CINQ MARS
28 ans Boisbriand
23 avr. 2022


9. 236 km/h 990 $ Stephane DELISLE
57 ans Laval
12 août 2020


10. 233 km/h ND Felix ALAIN
22 ans Portneuf
02 oct. 2023
Source: Ministère de la Justice du Québec


«À cette vitesse-là, s’il y a quoi que ce soit sur la route, c’est impossible de l’éviter», souligne Pierre Bellemare, ex-reconstitutionniste de la Sûreté du Québec et expert en collision routière.


Une voiture qui circule à 100 km/h prendra 80 mètres à s’immobiliser si on enclenche les freins, considérant le temps de réaction moyen d’une personne et une chaussée sèche.


Dans le cas de M. Barsikhian, il aurait mis 525 mètres à s’arrêter complètement s’il avait dû éviter une collision. «C’est peine perdue», lâche M. Bellemare.

Des cas similaires seront de plus en plus nombreux, croit-il, avec l’arrivée massive de véhicules électriques, plus performants et réactifs que ceux à combustion. Selon lui, il serait judicieux de légiférer pour limiter les performances de ceux-ci en amont.


«Au même titre que les camions lourds qui sont bloqués à 105 km/h», lance-t-il.

Maxime Brault, directeur de la recherche en sécurité routière à la SAAQ.
Maxime Brault, directeur de la recherche en sécurité routière à la SAAQ. Photo fournie par la SAAQ


Baisse drastique d'infractions
Quand on regarde l'ensemble des statistiques, le nombre d’infractions pour grands excès de vitesse est toutefois en baisse drastique depuis 15 ans au Québec.


Les grands excès de vitesse étaient d’environ 40 000 en 2007, un chiffre qui a chuté à environ 6500 en 2023, d’après la Société d’assurance automobile du Québec (SAAQ).


«La tendance est à la baisse depuis qu’on a instauré des sanctions plus sévères», observe Maxime Brault, directeur de la recherche en sécurité routière à la SAAQ.
C’est que depuis 2008, les amendes pour ces infractions, ainsi que le nombre de points d’inaptitude ont été doublés. Sans parler d’une suspension immédiate du permis pour des durées variables.

Publicité


Mais il reste encore beaucoup de travail de sensibilisation à faire, selon les experts à qui nous avons parlé.

«Ça a porté fruit, mais c’est sûr qu’il y a encore des gens pour qui le message ne passe pas. Des données comme celles-là, c’est inacceptable», ajoute M. Brault, faisant référence aux données compilées par Le Journal.


Pierre Bellemare, ex-reconstitutionniste de la SQ et propriétaire de L'équipe collision expert inc.
Pierre Bellemare, ex-reconstitutionniste de la SQ et propriétaire de L'équipe collision expert inc. Photo fournie par Pierre Bellemare

Sensibiliser les jeunes


Dans tous les cas, c’est dans les écoles que les efforts doivent être mis en priorité pour sensibiliser les jeunes aux risques de la vitesse excessive et de la conduite dangereuse, estiment les deux experts.


«Les jeunes ne regardent plus la télé, les publicités sur les accidents n’ont pas d’impact sur eux», déplore M. Bellemare.


C’est justement pour cette raison que depuis une dizaine d’années, la SAAQ se rend dans les écoles pour présenter des simulations de collision et montrer à quoi ressemblent concrètement des accidents à haute vitesse.


En 2023, les collisions avec décès chez les 15 à 24 ans ont d’ailleurs augmenté de 31% par rapport à la moyenne des cinq dernières années.


«Reste à voir si ça va se reproduire ou si ce n’était qu’une mauvaise année», conclut M. Brault.

Distance nécessaire pour s'immobiliser
50 km/h → 27 mètres
100 km/h → 80 mètres
150 km/h → 160 mètres
200 km/h → 266 mètres
250 km/h → 398 mètres


Source: L'équipe collision expert inc.
Rapides et dangereux
TVA nouvelle
Copie conforme du texte.

3-Système ABS

 

Le terme « ABS » signifie « Anti-lock Braking System », ou système de freinage antiblocage. Il s’agit d’un élément de sécurité clé dans la plupart des voitures et camions modernes. Les freins antiblocages fonctionnent avec le système de freinage normal d'une voiture en les pompant automatiquement en cas d'arrêt brusque. Voyons plus en détail quel est le rôle du système de frein ABS

.

Comment fonctionne le système de frein ABS ?

Lorsque vous freinez brusquement, il peut arriver que vos roues se bloquent, affectant votre contrôle sur le véhicule. Lors du blocage des roues, les roues de votre véhicule cessent de tourner, ce qui fait déraper votre voiture. Avant l’arrivée des freins ABS, les conducteurs devaient pomper les freins lorsqu'ils sentaient leur véhicule déraper.


Aujourd'hui, la technologie ABS automatise le processus de pompage des freins afin que vous puissiez vous concentrer sur la conduite du véhicule lors d'une situation d'urgence. En empêchant les roues de votre voiture de se bloquer, les freins antiblocages garantissent que vous êtes en mesure de diriger votre véhicule lors d'un freinage brusque.


Avec le système de freinage antiblocage, la vitesse des roues de votre voiture est surveillée et si un blocage des roues est détecté, un capteur envoie un message à un contrôleur qui active les freins jusqu'à 20 fois par seconde, empêchant ainsi un blocage des roues et vous permettant de maintenir contrôle de votre véhicule.

Dans bon nombre des nouvelles voitures et camions, les freins antiblocages fonctionnent conjointement avec d'autres systèmes de sécurité, dont le contrôle de la traction et de la stabilité, afin de vous procurer une expérience de conduite plus sécuritaire. 


Comment les freins ABS diffèrent des freins conventionnels 

Lorsque vous appuyez de manière brusque sur les freins conventionnels, les roues peuvent se bloquer. Mais, grâce à l'action de pompage automatique des freins antiblocage, vous pouvez garder le contrôle de votre véhicule et le diriger en toute sécurité lors d'un arrêt d’urgence. 


Quelles sont les limites du système de frein ABS ?

Bien que les freins ABS soient plus sécuritaires dans plusieurs situations, il ne faut pas qu’ils vous donnent un faux sentiment de sécurité. Pour tirer pleinement parti des freins antiblocages, vous devez éviter les comportements comme les excès de vitesse, le talonnage des véhicules devant vous et la conduite en état d’ébriété.


 Une conduite sécuritaire augmentera votre temps de réaction, un facteur important pour pouvoir gérer une situation d'urgence. Ne vous attendez donc pas à ce que les freins ABS compensent pour un mauvais comportement sur la route.


Les freins ABS existent depuis plus de 20 ans, et même si la plupart des véhicules en sont équipés, certains ne le sont pas. Un bon moyen de vérifier si la voiture neuve ou d'occasion que vous achetez est équipée d'un système de frein ABS est de démarrer le véhicule et de rechercher un voyant lumineux ABS sur le tableau de bord. 

Vous devriez également faire vérifier le système si vous achetez un véhicule d'occasion pour vous assurer que l'ABS fonctionne toujours correctement. La dernière chose que vous voulez est un système qui ne se déclenche plus lorsque vous en avez le plus besoin.


Source: Journal le soleil

Publication web CSSR

 

4- Conduite Éco Gouv du Canada

  

Gouv. du Canada


https://ressources-naturelles.canada.ca/efficacite-energetique/efficacite-energetique-transports-carburants-remplacement/vehicules-personnels/techniques-de-conduite-ecoenergetique/21039


Techniques de conduite écoénergétique


La conduite écoénergétique vous fera non seulement économiser des centaines de dollars en carburant chaque année, mais elle contribuera aussi à améliorer la sécurité routière et à éviter l’usure inutile de votre véhicule. Mettez en pratique ces 5 techniques de conduite écoénergétique pour diminuer de 25 % la consommation en carburant et les émissions de dioxyde de carbone de votre véhicule :


1. Accélérez doucement

Plus vous accélérez brusquement, plus votre consommation en carburant augmente. En ville, vous pouvez économiser du carburant en appuyant sur la pédale d’accélération doucement et progressivement. Pour maximiser l’efficacité énergétique de votre véhicule après avoir effectué un arrêt. Imaginez-vous qu’il y a un gobelet de café sans couvercle sur votre tableau de bord. Ne le renversez pas!


2. Maintenez une vitesse constante

Lors de baisses subites de vitesse et d’accélérations soudaines, vous consommez plus de carburant et dépensez plus d’argent que vous ne devriez. Les études démontrent que la consommation de carburant augmente de plus de 20 % lorsque la vitesse du véhicule varie entre 75 et 85 km/h toutes les 18 secondes.


Optez pour le régulateur de vitesse automatique pour la conduite sur autoroute, lorsque les conditions le permettent. Toutefois, n’oubliez pas que de petites variations dans la vitesse peuvent vous être profitables lorsque la gravité fait son travail. Lorsque la circulation le permet, laissez ralentir la vitesse lorsque votre véhicule roule en montée, puis reprenez la cadence en roulant en descendant.


3. Prévoyez la circulation

Soyez attentif à la circulation devant vous. Conservez une distance suffisante entre votre véhicule et celui qui vous précède. En regardant attentivement ce que font les piétons et les autres conducteurs et en anticipant leurs gestes, vous pouvez rouler à une vitesse aussi constante que possible et donc consommez moins de carburant. Conduire ainsi est également plus sécuritaire.


4. Évitez les vitesses élevées

Tenez compte de la limitation de vitesse et économisez du carburant! La plupart des voitures, fourgonnettes, camionnettes et VUS atteignent leur niveau d’efficacité maximale en roulant à entre 50 et 80 km/h. Au-delà de cette fourchette, la consommation en carburant des véhicules croît avec la vitesse.

Par exemple, à une vitesse de 120 km/h, un véhicule consomme environ 20 % plus de carburant qu’en roulant à 100 km/h. Sur un trajet de 25 km, la différence dans la durée du parcours entre ces deux vitesses n’est que de deux minutes.


5. Relâchez l’accélérateur pour réduire la vitesse

Chaque fois que vous freinez, vous perdez votre élan. En anticipant le comportement de la circulation, vous pouvez souvent prévoir à quel moment ralentir. Vous économiserez du carburant et de l’argent en relâchant l’accélérateur et en avançant en roue libre pour ralentir au lieu de freiner.


Suivez le cours d’écoConduite en ligne gratuit pour en apprendre davantage sur la façon dont la conduite écoénergétique peut vous aider à économiser de l'argent et à réduire vos émissions de gaz à effet de serre.

D’autres manières de réduire votre consommation de carburant

Voici autres moyens qui pourraient vous permettre de réduire votre consommation en carburant et vos dépenses :


Évitez de faire tourner votre véhicule au ralenti

Coupez le moteur si le véhicule est immobilisé pendant plus de 60 secondes, sauf si vous vous trouvez dans la circulation. Un véhicule moyen équipé d’un moteur de 3 litres gaspille 300 millilitres (plus d’une tasse) de carburant par 10 minutes de marche au ralenti.


Vérifiez la pression de vos pneus tous les mois

Conduire un véhicule dont les pneus sont sous-gonflés de 56 kilopascals (8 livres par pouces carrés) peut augmenter de 4 % la consommation de carburant. Cela peut également réduire la durée de vie des pneus de plus de 10 000 kilomètres. Repérez la pression recommandée pour les pneus de votre véhicule indiquée sur la plaque-étiquette, en général apposée sur le bord ou sur le montant de la portière conducteur. Apprenez-en davantage sur l’entretien des pneus (en anglais seulement).


Utilisez correctement une boîte transmission manuelle

Surveillez le tachymètre, qui affiche la vitesse de rotation du moteur. Utilisez-le pour savoir à quel moment changer de vitesse pour maximiser le rendement énergétique. Plus le nombre de tours/minute (tr/min) est élevé, plus le moteur brûle de carburant. Il faut donc rétrograder en douceur et rapidement, et accélérer en passant les vitesses supérieures.


Ne transportez pas de poids inutile

Retirez de votre véhicule les objets comme les sacs de sel et de sable et l’équipement sportif. Moins il y aura de poids, moins le véhicule consommera de carburant. La consommation en carburant d’une voiture intermédiaire augmente d’environ 1 % pour chaque charge de 25 kilogrammes supplémentaire.


Retirez les porte-bagages ou les porte-vélos

Diminuez la résistance aérodynamique de votre véhicule en retirant les supports lorsque vous ne les utilisez pas. Cette résistance peut faire augmenter de 20 % la consommation en carburant sur la route.


Utilisez la climatisation avec modération

La climatisation peut augmenter de 20 % la consommation en carburant d’un véhicule. Ouvrez la fenêtre lorsque vous roulez en ville et utilisez la ventilation à circulation directe de votre véhicule avec les fenêtres fermées pendant que vous conduisez sur la route. Si vous utilisez le climatiseur, utilisez la fonction de recirculation de l’air. Cela réduira les effets sur la consommation.


Utilisez un afficheur de la consommation de carburant

Découvrez les effets des 5 techniques de conduite écoénergétique grâce à un afficheur de la consommation de carburant, un dispositif qui figure aujourd’hui parmi les caractéristiques de base de plusieurs véhicules. (Certains véhicules récents sont équipés d’afficheurs encore plus perfectionnés qui analysent les variations de la vitesse, les points de changement de vitesse pour les boîtes de vitesses manuelles et les habitudes de conduite comme les temps d’accélération et de freinage.)

Plusieurs conducteurs parviennent à consommer 15 % moins de carburant en prenant en considération les informations fournies par cet afficheur.


Suivez votre consommation de carburant

Combien de temps pouvez-vous rouler sans remplir le réservoir? Deux semaines? Un mois?


Mettez-vous au défi de faire le plein le moins souvent possible et vos coûts mensuels diminueront.

Anticipez

  • Élaborez votre itinéraire, surtout s’il s’agit d’un long trajet.
  • Écoutez les bulletins d’information sur la circulation pour éviter les accidents  les zones de travaux et les autres points sensibles.
  • Évitez les routes qui traversent de grandes villes où les feux de circulation, les intersections et les piétons sont nombreux.
  • Circulez sur des autoroutes à quatre voies lorsque vous le pouvez.

Combinez vos déplacements

Les longs trajets permettent au moteur de votre véhicule de se réchauffer pour atteindre sa température la plus écoénergétique.

  • Effectuez vos déplacements les uns après les autres.
  • Planifiez votre itinéraire pour éviter les détours et le trafic aux heures de pointe.

Conduisez moins souvent

Le meilleur moyen de réduire la consommation de carburant est de conduire moins souvent.

  • Rendez-vous à votre destination à pied ou à vélo. Vous ne consommerez pas de carburant et aurez un mode vie plus sain.
  • Utilisez le transport en commun.
  • Optez pour le covoiturage. Vous et votre groupe économiserez de l’essence et éviterez le rejet de tonnes de polluants atmosphériques à l’année.
  • Travaillez à domicile si vous le pouvez. Chaque journée de télétravail réduit de 20 % votre consommation en carburant.

Mettez-vous au défi

Vous tenez à économiser de l’argent et à minimiser votre empreinte écologique? Utilisez ce plan d’action personnel pour atteindre vos objectifs.


Votre plan d’action personnel

Votre objectif en économies d’essence : ……… %

Manières d’atteindre votre objectif


1. Conduire pour une efficacité énergétique maximale

o Accélérez doucement

o Maintenez une vitesse constante

o Prévoyez la circulation

o Évitez les vitesses élevées

o Relâchez l’accélérateur pour réduire la vitesse


2. Adopter d’autres conseils et astuces

o Éviter la marche au ralenti inutile

o Vérifier la pression des pneus tous les mois

o Utiliser correctement une boîte transmission manuelle

o Éviter de transporter du poids inutile

o Retirer les porte-bagages ou les porte-vélos non utilisés

o Utiliser la climatisation avec modération

o Utiliser un afficheur de la consommation de carburant

o Suivre la consommation de carburant

o Anticiper

o Combiner les déplacements

o Conduire moins souvent

5- Erreurs fréquentes

  

10 erreurs de conduite courantes


https://www.carfax.ca/resource-centre/fr-ca/articles/the-top-10-driving-mistakes


Soyons francs : pour bon nombre d'entre nous, les cours de conduite ne sont plus qu'un vague souvenir. Au fil des ans, nous avons acquis de mauvaises habitudes ici et là, et la plupart d'entre nous auraient avantage à suivre un cours sur les techniques de conduite préventive et sur les pratiques de conduite sécuritaire.


Les erreurs de conduite courantes

1. Conduire trop près de la voiture devant soi

2. Ne pas vérifier les angles morts

3. Ne pas regarder dans ses rétroviseurs extérieurs

4. Avoir la rage au volant

5. Ne pas utiliser ses clignotants

6. Ne pas respecter les règles d’un arrêt à quatre sens

7. Tourner dans la mauvaise voie

8. Conduire trop lentement

9. Ne pas respecter l’étiquette d’insertion dans la circulation

10.Trop freiner


Conseils pour conduire en toute sécurité


1. Évitez de suivre de trop près

Laissez un espace de freinage suffisant entre votre véhicule et celui devant vous afin de toujours être préparé à un freinage brusque. Une excellente règle pratique consiste à maintenir une distance d'au moins trois secondes entre le véhicule devant vous et le vôtre. En cas de mauvais temps, pensez à laisser une seconde supplémentaire ou plus au cas où vous glisseriez ou déraperiez.


2. Faites attention à vos angles morts

Sachez où sont les angles morts sur votre véhicule et vérifiez-les avant de faire un virage ou de changer de voie. Vous devez être conscient des angles morts des autres véhicules et les éviter : vous voulez que les autres conducteurs vous voient en tout temps. Et n’oubliez pas les point mort (poteaux de portes et de fenêtres).


3. Repositionnez vos rétroviseurs extérieurs

Bon nombre de conducteurs ont appris qu'ils doivent voir une partie du véhicule dans les rétroviseurs latéraux pendant qu'ils conduisent, ce qui est faux. Positionnez le rétroviseur avec un angle légèrement vers l'extérieur, juste assez pour ne pas voir votre véhicule et voir un peu plus la route.


4. Maîtrisez votre colère

Les gens font des erreurs, et ils en font également pendant que vous conduisez. Si quelqu'un vous coupe ou ne met pas son clignotant comme il se doit, ce n'est pas une excuse pour perdre votre sang-froid. Crier ou faire des signes au conducteur ne fera qu’envenimer la situation. C’est comme crier devant la télévision : cela ne changera rien à ce qui s’est passé. Si vous avez l'impression que quelqu'un conduit de façon erratique et constitue un danger pour les autres, mémorisez les renseignements sur le véhicule et composez le 911 avec votre appareil mains libres.


5. Utilisez vos clignotants

Vous devriez toujours utiliser vos clignotants pour signaler aux autres conducteurs (ainsi qu'aux cyclistes et aux piétons) votre intention de tourner ou de changer de voie. Après avoir vérifié vos angles morts et effectué un virage, écoutez pour vous assurer que le clignotant est désactivé ou jetez un coup d'œil au tableau de bord pour vous assurer que le témoin est éteint. Vous ne voulez pas poursuivre votre route avec un clignotant toujours activé sans avoir l'intention de tourner. Vous pourriez ainsi semer la confusion chez les autres conducteurs et causer un accident.


6. Sachez quoi faire à un arrêt à quatre sens

Le premier véhicule qui s'arrête complètement à l'intersection a la priorité de passage. Si les deux véhicules arrivent au même moment et sont face à face, le véhicule qui tourne à gauche doit céder le passage au véhicule qui vient dans sa direction. Si les deux véhicules arrivent au même moment et sont perpendiculaires, la priorité de passage revient au véhicule de droite.


7. Demeurez dans votre voie dans un virage

Si vous conduisez sur une route à voies multiples et que vous tournez sur une autre, assurez-vous de demeurer dans votre propre voie. Lorsque vous tournez à droite, vous n’avez pas le droit de tourner dans la voie de gauche, et les mêmes règles s’appliquent lorsque vous tournez à gauche. Il ne s’agit pas juste d’une mesure de sécurité, c’est la loi à moins que vous conduisiez un semi-remorque.


8. Évitez de conduire lentement dans la voie de dépassement

La voie de dépassement de gauche sur une autoroute est précisément réservée aux dépassements. Vous ne devriez pas y rester. Après avoir dépassé le véhicule que vous vouliez dépasser, reprenez la voie de droite afin de permettre aux autres d'emprunter la voie de dépassement à leur tour. Conduire lentement dans cette voie pourrait inciter les autres à entreprendre des dépassements non sécuritaires ou à suivre de trop près.


9. Insérez-vous dans la circulation avec prudence

Dans les embouteillages, lorsque vous êtes bloqué sur la route depuis une éternité, la dernière chose que vous souhaitez faire est de laisser une autre personne passer devant vous. Malheureusement, l’entrée dans la circulation fait partie de la conduite, surtout sur l’autoroute, alors soyez courtois et laissez une autre personne s'insérer dans la file alors qu'elle entre sur l'autoroute. Il est fort probable que vous aurez besoin que quelqu’un vous rende la pareille un jour ou l'autre! Même si la circulation n'est pas bloquée, vous devriez toujours tenter de changer de voie pour laisser une personne entrer sur l'autoroute et entrer de manière sécuritaire dans la voie la plus à droite.


10. Soyez conscient de votre freinage

Ne surutilisez pas vos freins : soyez plutôt attentif à la route et utilisez les freins uniquement lorsque c'est nécessaire. Si vous maintenez une distance sécuritaire avec le véhicule devant vous, vous pourrez sans doute voir quand il réduit sa vitesse et, par conséquent, vous pourrez relâcher l'accélérateur. Si vous avez constamment le pied sur le frein, les conducteurs derrière vous ne seront pas en mesure de savoir quand vous avez simplement le pied sur le frein et quand vous ralentissez réellement.

Conseils supplémentaires pour vous protéger et protéger les autres


  • Mettez votre ceinture

Quel que soit l'endroit où vous allez ou le temps que vous devrez passer en voiture, prenez le temps d’attacher votre ceinture. Si vous avez de jeunes enfants, vous devriez toujours leur souligner l'importance des ceintures de sécurité et vérifier que la leur est attachée. Pour donner aux enfants l'habitude de boucler leur ceinture, envisagez de leur dire que vous ne démarrerez pas la voiture avant qu'ils l'aient fait.


  • Ne conduisez pas après avoir bu ou consommé des drogues

La conduite avec facultés affaiblies est l'une des principales causes de décès au Canada. Ne le faites pas. Jamais. Que vous ayez pris « juste un verre » ou une substance qui affaiblit votre capacité de conduire, il n’est pas sécuritaire de conduire. Trouvez une autre façon de rentrer chez vous, que ce soit un conducteur désigné, un programme de covoiturage ou un service de taxi, ne prenez pas le volant et ne mettez pas votre vie ou celle de quelqu’un d’autre en danger.


  • Rangez votre téléphone cellulaire

Utiliser son cellulaire en conduisant est une distraction dangereuse contraire à la loi dans toutes les provinces. Si vous êtes tenté de répondre à un appel ou à un message texte pendant que vous conduisez, éteignez votre téléphone chaque fois que vous entrez dans le véhicule. Si vous devez absolument répondre à un appel, arrêtez-vous dans un endroit sécuritaire, allumez vos feux de détresse si nécessaire, puis prenez le téléphone ou répondez avec un dispositif mains libres.


  • Ralentissez

Il y a une raison pour laquelle les routes canadiennes sont assujetties à des limites de vitesse. Ces limites ont pour objectif d'assurer la sécurité des conducteurs et de contrôler la circulation sur les routes achalandées. Respectez la limite de vitesse et, si vous êtes pressé, veillez à partir plus tôt la prochaine fois.


  • Soyez alerte

Évitez de conduire lorsque vous êtes fatigué. Si vous devez faire des efforts pour garder les yeux ouverts, votre temps de réaction est plus lent et vous courez le risque de vous assoupir au volant. Des études ont montré qu’être éveillé depuis 18 heures d’affilée peut vous faire conduire comme si vous aviez une alcoolémie de 0,05.


Bonne route!


Art : Carfax.ca

Publier par : Gestioncssrj.com

6-Amaxophobie

  

Saviez-vous que la peur de conduire est appelée amaxophobie? Un pourcentage élevé de personnes en souffre, alors ne pensez pas que les gens sont heureux dans des véhicules du jour au lendemain: c’est un processus d’adaptation, la confiance est encouragée par la pratique.


La bonne nouvelle, c’est que la peur de conduire peut être surmontée.


La peur en soi n’est pas mauvaise, rappelez-vous que c’est l’une des émotions les plus fondamentales de l’être humain que de survivre et de rester hors de danger. Cependant, la peur de conduire signifie que l’on surdimensionne ces situations.

Partagez ces conseils qui vous seront utiles lorsque vous commencerez vos leçons de conduite.


Conseil 1: Encourager la prise de conscience de soi.

Vous savez, votre esprit et votre corps sont en harmonie, alors essayez de rester calme et de transmettre ce calme. L’esprit est puissant et sera votre principal allié pour surmonter la peur de conduire. 


La peur de conduire se manifeste de trois façons. Avec des symptômes cognitifs, physiologiques et observables.

 Cognitif signifie pensées négatives, manque de concentration, inquiétude.

Les symptômes observables se réfèrent à la transpiration, aux mouvements nerveux des mains. 

Alors que les symptômes physiologiques concernent des aspects tels qu’un estomac vide, une fatigue sans cause apparente, des vertiges et un affect certain.

Une attitude calme vous aidera à apprendre à conduire. 


Conseil 2: Changez votre façon de penser

Vous devez analyser et identifier ce qui vous fait penser que la conduite est une menace. Pensez-vous que vous allez perdre le contrôle? Confondre les pédales? Vous ne pouvez pas juger des distances dans la voie?


Identifiez vos craintes et essayez de les neutraliser, si vous y parvenez, vous vous rapprocherez de l’expérience du plaisir de conduire.


Conduire n’est pas seulement une question de responsabilité: c’est aussi une question d’indépendance, de détente, d’autonomie. Ce sont des sentiments positifs qui peuvent vous aider à neutraliser la peur de conduire.


Conseil 3: Augmenter votre confiance

Que feriez-vous si vous conduisiez? cesseriez-vous de passer des heures à attendre qu’on vienne vous chercher? rendriez-vous souvent visite à vos proches? 

Il est donc temps pour vous de prendre confiance en vous afin de surmonter votre peur de conduire. Le fait de vous mettre au défi vous aidera à franchir cette étape.


Conseil 4: Allez-y doucement.

Apprendre à conduire est un processus. Il se peut que vous voyiez d’autres personnes conduire entre les véhicules ou faire des manœuvres sans effort et que vous ayez l’impression de ne pas pouvoir le faire. 


Ne vous inquiétez pas, avec le temps, vous conduirez comme ça. Un exercice qui vous aidera à surmonter votre peur de conduire au cours des premiers mois où vous serez au volant consiste à concevoir vos itinéraires avant de prendre le volant. Si possible, conduisez avec quelqu’un qui est sympathique et qui peut vous prodiguer des conseils sans se fâcher.

Le tempérament de votre guide favorisera la confiance en soi. 


Conseil 5: Exercez votre esprit pour surmonter vos peurs

Vous avez peut-être suivi les conseils ci-dessus, mais même ainsi, lorsque vous prenez la route, la peur de conduire vous tourmente et rend la chose impossible. 

L’auto-école vous fourniras des techniques pour faire progressivement de la conduite une expérience agréable.


Conseil 6: Vous pouvez conduire seul.

Oui, la peur de conduire peut se manifester de temps en temps, mais n’oubliez pas: vous avez déjà plusieurs compétences qui sont les outils que vous utiliserez pour réagir sur la route, il est donc temps de prendre le volant et de conduire lentement et de manière défensive.


Vous devez mettre en pratique toutes les connaissances que vous avez acquises. Au fil des jours, vous deviendrez plus habile et vos craintes disparaîtront.


Conseil 7: la pratique et la pratique

Bien entendu, lorsque vous êtes assis au volant, vous devrez peut-être pratiquer mentalement les six étapes ci-dessus pour parvenir à la maîtrise de soi. 

Bonne route!


CSSR

7- Confectionner une trousse d'urgence

  

Préparer une trousse d’urgence pour la voiture.

Chaussée glissante ou obstruée par la neige, visibilité réduite, froid mordant : voilà autant de conditions qui peuvent rendre la conduite automobile difficile, voire dangereuse pendant la saison froide. Lorsque l'hiver frappe à nos portes, les risques de demeurer coincé dans votre véhicule augmentent.


Avant de prendre le volant, assurez-vous d'être préparé à toute éventualité. Suivez ces conseils et apprenez au sujet des risques associés à la conduite en hiver et préparez une trousse d'urgence pour votre véhicule.


Ce que vous devriez savoir au sujet de sept conditions hivernales :

  • Blizzard : Ce sont les tempêtes d'hiver les plus dangereuses, combinant à la fois des chutes et des rafales de neige, de la poudrerie, des vents d'au moins      40 kilomètres à l'heure, une visibilité inférieure à un kilomètre, des températures en-deçà de -10 °C. Leur durée est de quelques heures ou plusieurs jours.
  • Fortes chutes de neige: Il s'agit d'une chute d'au moins 10 centimètres en 12 heures, ou de 15 centimètres et plus en 24 heures; les accumulations peuvent être moins élevées dans les climats tempérés.
  • Pluie ou bruine verglaçante : Elles peuvent donner lieu à une tempête de verglas, couvrant de glace les routes, les arbres et les câbles aériens.
  • Vagues de froid : Il s'agit d'une baisse de température      rapide au cours d'une très brève période, et causant des chaussées très glacées.
  • Vents: Ils sont la cause des conditions associées aux blizzards et entraînent des rafales de neige, de la poudrerie, réduisant la visibilité et provoquant un refroidissement éolien.
  • Glace noire : Il s'agit d'une mince couche de glace qui se forme sur la chaussée et qui peut être difficile à voir ou qui fait paraître la chaussée noire et luisante. La chaussée des parties ombragées de la route, des ponts et des viaducs gèle plus rapidement lorsqu'il fait froid, et      reste gelée bien après le lever du soleil.
  • Gadoue : La neige fondante peut rendre les routes détrempées. La gadoue peut s'accumuler dans les puits de roues de votre véhicule et affecter votre conduite. Les gros camions et les autobus peuvent éclabousser votre pare-brise et réduire grandement votre visibilité. Des précautions additionnelles doivent être utilisées lors de pareilles conditions.


Si vous êtes pris dans une tempête ou dans un banc de neige, ne paniquez pas et tentez de rester calme. Évitez de vous épuiser et ne vous exposez pas trop au froid. Le pelletage et le froid intense peuvent être mortels. 


Demeurez dans la voiture. Vous ne vous égarerez pas et c'est un abri sûr. Laissez pénétrer de l'air frais dans la voiture en ouvrant une fenêtre du côté abrité contre le vent. Faites tourner le moteur le moins possible.

 Méfiez-vous du monoxyde de carbone et assurez-vous que le tuyau d'échappement n'est pas obstrué par de la neige. Si possible, utilisez une bougie placée à l'intérieur d'un contenant métallique profond pour vous réchauffer au lieu du système de chauffage de la voiture.


Installez une lanterne d'avertissement ou des fusées éclairantes pour rendre votre voiture visible. Allumez le plafonnier. En utilisant les phares ou les feux de détresse trop longtemps, vous risquez d'épuiser la batterie. Remuez vigoureusement les mains, pieds et bras pour maintenir la circulation sanguine et ne vous endormez pas. 


Surveillez l'arrivée d'autres voitures et des intervenants d'urgence. Habillez-vous chaudement et essayez de garder vos vêtements secs puisque s'ils sont mouillés, vous risquez des pertes de chaleur corporelle dangereuses.


Procurez-vous une trousse d'urgence pour la voiture.

Ayez toujours de l'équipement de sécurité et d'urgence pour l'hiver dans votre véhicule. La trousse d'urgence de base pour la voiture doit contenir les articles suivants :


  • Nourriture - aliments non périssables, comme les barres énergétiques
  • Eau - bouteilles de plastique qui ne se cassent pas sous l'effet du gel (les remplacer aux six mois)
  • Couverture
  • Vêtements et chaussures ou bottes de rechange
  • Trousse de premiers soins et un couteau pour couper la ceinture de sécurité
  • Petite pelle, grattoir et balai à neige
  • Bougie dans un contenant métallique profond et allumettes
  • Lampe de poche à manivelle
  • Sifflet - pour attirer l'attention au besoin
  • Cartes routières
  • Copie de votre plan d'urgence

Articles à garder dans le coffre de l'auto :

  • Sable, sel ou litière pour chat (non agglomérante)
  • Antigel et liquide lave-glace
  • Câble de remorquage
  • Câble de démarrage
  • Extincteur
  • Feu avertisseur ou fusées éclairantes


Imprimez ou téléchargez la liste d'urgence pour la voiture :
Trousse d'urgence pour la voiture. Barrez sur la liste les articles que vous placez dans votre voiture.


Ces conseils vous sont présentés par Sécurité publique Canada, en collaboration avec Transports Canada.  


Publier par: CSSR

Conduite avec TDAH

  

https://www.laminicoachtdah.fr/vivre-avec-le-tdah/tdah-et-conduite

TDAH et Conduite : Naviguer sur La Route en Toute Sécurité

Les adultes atteints de TDAH peuvent rencontrer des défis en conduisant, notamment la distractibilité et l'impulsivité, qui peuvent affecter leur performance de conduite. Cependant, avec les bonnes stratégies et soutiens, tels que la thérapie comportementale et éventuellement des médicaments, beaucoup peuvent conduire de manière sûre et efficace. 


Il est essentiel de reconnaître que, bien que le TDAH puisse introduire des obstacles à une conduite sûre, cela ne rend pas automatiquement quelqu'un un mauvais conducteur. Comprendre ses symptômes et travailler sur des stratégies pour atténuer leur impact est la clé pour améliorer les compétences de conduite des adultes atteints de TDAH.


écrit par Alice The mini Adhd coach

Dans cet article:

Les Risques de Conduire avec un TDAH Symptômes du Trouble du Déficit de l'Attention avec Hyperactivité (TDAH) Pouvant Affecter La Performance de Conduite Conseils de Conduite Sûre Pour lLs Conducteurs Atteints de TDAH Conclusion Le TDAH et la Conduite: Foire Aux Questions (FAQ)

  

As-tu un permis de conduire ? Combien de temps t'a-t-il fallu pour réussir ton examen ? Es-tu suffisamment confiant(e) que tu conduis de manière sécuritaire ?  Combien de contraventions t'ont été délivrées à cause de ton comportement de conduite préoccupant ?


‍Si tu n'as pas de permis, qu'est-ce qui t'empêche de l'obtenir ? T'inquiètes-tu que tes symptômes puissent interférer avec ta capacité à conduire, ce qui pourrait conduire à des accidents ? 


As-tu obtenu ton permis de conduire ? Si oui, combien de temps et d'effort as-tu consacré à l'étude pour et à la réussite de l'examen de conduite ? 


Te sens-tu confiant(e) dans ta capacité à conduire de manière sûre et responsable ? 


‍Quels facteurs t'empêchent de franchir cette étape si tu n'as pas encore obtenu ton permis d'apprenti ? Peut-être que tu es préoccupé(e) que tes symptômes de TDAH autour de la concentration, de l'impulsivité ou de l'inattention pourraient rendre la conduite plus difficile.


‍Je comprends ; c'est assez effrayant. Conduire est une grande responsabilité, non seulement pour notre sécurité mais aussi pour celle des autres. 


‍Je reçois souvent des questions sur Instagram TMAC à propos de l'effet du TDAH sur mes capacités de conduite. Pour certaines personnes atteintes de Trouble Déficitaire de l'Attention avec Hyperactivité (TDAH), rester concentré et attentif au volant peut être difficile.


‍Le manque de concentration pourrait conduire à des situations dangereuses, des infractions routières et même des accidents graves s'ils ne sont pas correctement gérés. Cependant, il existe des stratégies que les personnes atteintes de TDAH peuvent utiliser pour minimiser les risques et devenir des conducteurs responsables.


 Avec de la pratique, de la patience et de la persévérance, conduire avec un TDAH est sans aucun doute possible. Les récompenses d'indépendance et de commodité en valent la peine pour trouver des moyens d'accommoder nos besoins et de conduire aussi sûrement que possible. 


‍Les Risques de Conduire avec un TDAH

‍Les recherches montrent que les adultes présentant des symptômes persistants de TDAH sont presque deux fois plus susceptibles d'être impliqués dans des accidents de voiture que la population générale. Un contributeur peut être la difficulté à maintenir la concentration et à contrôler les impulsions en conduisant. 


‍Les jeunes adultes atteints de TDAH sont également confrontés à des risques d'accidents accrus, Une étude précédente ayant trouvé que le taux d'accidents sur quatre ans pour les conducteurs adolescents était de 37 % plus élevé qu'un groupe témoin de jeunes adultes sans TDAH. Les facteurs contributifs pour les conducteurs adolescents peuvent inclure des défis à suivre les règles et à agir hâtivement sans considérer les conséquences.


 Cela soulève naturellement des préoccupations de sécurité pour eux-mêmes et pour les autres sur la route. 


‍Cependant, avoir un TDAH ne prélude pas quelqu'un de la conduite sécuritaire. Une bonne éducation des conducteurs adaptée aux besoins liés au TDAH est une préparation inestimable pour établir des habitudes de conduite efficaces. De nombreuses auto-écoles travaillent avec des apprenants TDAH pour développer des compétences telles que la concentration soutenue et l'attention. Avec une formation adéquate, les personnes atteintes de TDAH peuvent apprendre des pratiques de conduite sûres. 

‍

Pour ce faire, nous devons être conscients de la manière dont nos symptômes peuvent affecter notre capacité de conduite. Cela nous permet d'employer des stratégies pour gérer proactivement ces défis.


 Avec patience et préparation adéquate, les personnes atteintes de TDAH peuvent trouver des moyens d'accommoder leurs besoins et leurs forces tout en conduisant de manière responsable.

 

‍Symptômes du Trouble du Déficit de l'Attention avec Hyperactivité (TDAH) Pouvant Affecter La Performance de Conduite


‍Difficulté à Maintenir La Concentration

Certains symptômes peuvent avoir un impact direct sur nos fonctions cognitives, posant des défis pour maintenir l'attention pendant la conduite. Des traits de TDAH comme la distractibilité et l'inattention peuvent entraîner une réduction de la concentration, pouvant potentiellement conduire à des blessures graves ou des accidents.


 Les adultes et les adolescents atteints de TDAH courent un plus grand risque d'être distraits par des éléments tels que les notifications de téléphone portable.


‍En conduisant, nous pouvons négliger les limites de vitesse et les panneaux d'arrêt à cause des distractions ou de l'oubli, ce que d'autres pourraient percevoir comme une conduite négligente ou imprudente. 


De plus, les individus atteints de TDAH ont souvent du mal à se concentrer sur les détails, ce qui facilite le fait de manquer des éléments importants comme les panneaux d'arrêt et les feux de circulation. Cela peut également s'étendre à ne pas remarquer les autres conducteurs, augmentant ainsi le risque de collision.


Impulsivité

Notre impulsivité et notre difficulté à attendre peuvent nous amener à conduire au-delà de la limite de vitesse et même à éprouver de la rage au volant. Un autre événement courant pour les conducteurs atteints de TDAH est de recevoir des contraventions pour des infractions telles que l'excès de vitesse, le non-respect d'un panneau d'arrêt et la conduite imprudente. Cela peut entraîner la perte des privilèges de conduite et la suspension du permis.


‍Oubli

Parfois, être oublieux peut également affecter nos habitudes de conduite sûre. Oublier de porter une ceinture de sécurité appropriée ou perdre les clés de la voiture puis accélérer à cause du retard sont des comportements que nous pourrions adopter, ce qui peut être assez dangereux.


‍Nous pouvons également oublier les règles de conduite ou de respecter les lois de la circulation, les restrictions de stationnement ou les limites de temps, ce qui conduit à des amendes de stationnement. Les règles de conduite peuvent également être compliquées ; nous ne les comprenons pas toujours ou ne les retenons pas.


‍Dysrégulation Émotionnelle

Certains conducteurs atteints de TDAH s'inquiètent de contrôler les émotions accablantes concernant la conduite et les situations de trafic. Ils me demandent souvent comment je fais pour ne pas me mettre en colère ou frustré lorsque d'autres conducteurs font des erreurs ou lorsqu'il y a beaucoup de trafic.


 Ne pas pouvoir contrôler nos émotions peut conduire à un mauvais jugement et à une conduite imprudente, ce qui augmente le risque d'être arrêté , d'avoir un accident ou pire, une blessure grave pour soi-même ou pour autrui.

‍

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Conseils de Conduite Sûre Pour lLs Conducteurs Atteints de TDAH


‍Gérer le Trouble du Déficit de l'Attention avec Hyperactivité peut rendre plus difficile la garantie de la sécurité au volant. Mais il existe des moyens d'améliorer notre expérience de conduite et de prendre des mesures pour prévenir les accidents.

‍Voici quelques conseils pratiques à considérer. 


‍Minimiser Les Distractions

Pour promouvoir des habitudes de conduite sûres, il est important de contrer les tendances du TDAH telles que la distractibilité et l'inattention.

‍Pour ce faire, essayez de :

  • Minimiser les distractions en évitant l'utilisation de téléphones portables, de manger, de se maquiller ou de manipuler la radio/le système sonore en conduisant. Éteignez les notifications du téléphone portable en conduisant si elles vous distraient énormément.
  • Reposez-vous suffisamment avant de longs trajets pour prévenir la fatigue et les accidents de véhicule.
  • Placez les téléphones et autres distractions hors de portée facile pour éviter d'être arrêté pour l'utilisation de votre appareil.
  • Rappelez aux passagers que vous pourriez avoir besoin de parler moins en conduisant pour rester concentré. Si vous devez conduire avec de jeunes enfants, envisagez de demander à un autre adulte de vous accompagner lors de longs trajets.


Apprendre à Contrôler La Rage au Volant

Garder nos émotions sous contrôle en conduisant est super important. Si vous commencez à vous sentir frustré par les autres conducteurs sur la route, prendre de grandes respirations et trouver des moyens de vous réguler peut vous empêcher de conduire de manière imprudente. Si vous remarquez que vos émotions affectent votre capacité à vous concentrer, garez-vous et prenez une pause. Être proactif peut faire une grande différence.


‍Choisir Le Bon Véhicule

Le type de voiture que vous conduisez a son importance lorsque vous conduisez avec un TDAH. La transmission automatique réduit les distractions pour certains, tandis que d'autres préfèrent la transmission manuelle pour un engagement accru avec la route. Des preuves suggèrent que conduire une voiture avec transmission automatique peut être plus sûr pour les adultes atteints de TDAH et est associé à une meilleure performance de conduite.


‍Trouver La Bonne Bande Sonore

La musique peut influencer le comportement de conduite. Comprendre si la musique vous aide à vous concentrer ou ajoute à des sentiments d'agitation et d'hyperactivité est essentiel. Ajuster le volume ou opter pour des périodes de silence peut minimiser les distractions et créer un environnement de conduite qui peut vous empêcher de perdre votre concentration.


‍Prenez vos Médicaments Correctement

Les médicaments pour le TDAH peuvent parfois affecter notre comportement. Parfois, ils aident à gérer les distractions et d'autres fois, ils peuvent nous rendre plus fatigués que d'habitude. Si vous prenez des médicaments pour le TDAH (surtout des médicaments stimulants), assurez-vous de demander à votre médecin comment ils affecteront votre conduite. Vous pourriez devoir ajuster votre dose ou passer à un autre traitement médicamenteux si cela impacte votre capacité à conduire en toute sécurité.


‍Rappelez-vous ; les médicaments à libération prolongée peuvent signifier que certains adultes atteints de TDAH sont plus négativement affectés dans leur conduite par même de faibles doses d'alcool que les conducteurs sans TDAH. La plupart des pays ont une tolérance zéro pour un certain niveau d'intoxication, donc c'est quelque chose d'important à garder à l'esprit pour éviter les accidents de voiture et la perte de vos privilèges de conduite.


‍Trouvez du Soutien

Se connecter avec d'autres qui ont un TDAH adulte peut offrir des aperçus précieux pour gérer efficacement les défis de la conduite. Apprendre de leurs expériences peut fournir des stratégies pratiques pour une conduite plus sûre.


‍Être honnête avec soi-même sur l'impact du TDAH sur la conduite est crucial. Chercher du soutien auprès d'un psychologue clinique, d'un thérapeute, d'un médecin ou d'un groupe de soutien peut fournir un diagnostic, un traitement et des conseils pour adapter les habitudes de conduite afin d'améliorer la sécurité.

‍

Conclusion

Contrairement à une croyance populaire, avoir un Trouble du Déficit de l'Attention avec Hyperactivité ne fait pas de nous de mauvais conducteurs. 


 De nombreux adultes et adolescents avec un TDAH sont d'excellents conducteurs. Le cœur du problème réside dans la reconnaissance de nos symptômes et de leur relation avec les risques potentiels de conduite. Avec cette prise de conscience, nous pouvons adopter une approche consciente pour relever ces défis.


‍Certes, les distractions peuvent s'insinuer, surtout lors de longs trajets qui amènent nos cerveaux TDAH à vagabonder occasionnellement. Mais la vérité est que nous avons le potentiel d'exceller en tant que conducteurs en tirant parti de notre auto-conscience et de stratégies proactives.


 Équipés d'une compréhension profonde de notre condition, nous pouvons naviguer sur les routes en toute sécurité et éviter les accidents. 


‍Bien qu'il soit vrai que certains individus atteints de TDAH pourraient avoir une plus grande probabilité de recevoir des contraventions pour excès de vitesse ou d'être impliqués dans des accidents, il est crucial de garder à l'esprit que cela ne qualifie pas tout le monde dans la communauté TDAH de mauvais conducteurs. 


Notre historique de conduite ne définit pas seuls nos compétences de conduite. En reconnaissant nos symptômes et leur impact sur nous, nous nous donnons le pouvoir d'être des conducteurs responsables, en nous protégeant - et en protégeant les autres - sur la route.


‍Dans le grand schéma des choses, le succès de la conduite avec un TDAH repose sur la connaissance, l'auto-conscience et l'adaptabilité. C'est un voyage qui englobe la compréhension de nos défis uniques et le triomphe sur eux, forgeant finalement un chemin vers une conduite sûre et compétente.


Écrit par :Alice The mini Adhd coach

https://www.laminicoachtdah.fr/vivre-avec-le-tdah/tdah-et-conduite


Publier par CSSR

9-Autisme et conduite

  Comprendre l’anxiété pour mieux la vivre

31 mars 2021 - Julie BOUCHONVILLE

https://bienetreautiste.com/blogs/infos/autisme-et-conduite 

Autisme et conduite 


Beaucoup d’autistes sont incapables de conduire un véhicule. Et beaucoup d’autistes sont d’excellents conducteurs. Que mon lecteur soit le proche d’une personne autiste se demandant s’il devra lui servir de chauffeur jusqu’à la fin de ses jours ou une personne autiste se demandant si ça vaut la peine d’essayer de passer son permis, je vais tâcher ici de lui apporter quelques réponses. 


Pourquoi conduire est difficile?


Quel que soit le véhicule choisi, la conduite est difficile pour les autistes en raison de plusieurs facteurs. C’est un exercice complexe qui nécessite de pouvoir réaliser plusieurs tâches à la fois, d’en automatiser certaines, d’être attentif à tout un tas d’éléments de l’environnement et de bien maîtriser ses fonctions exécutives, entre autres afin de pouvoir déterminer quelles données sont utiles et lesquelles ne sont que du bruit de fond.


 Il faut également pouvoir se repérer un minimum dans l’espace, tant pour ne pas se perdre que pour comprendre les trajectoires à emprunter et prévoir celles des autres usagers de la route. Beaucoup d’autistes ont du mal avec toutes ces aptitudes.

C’est aussi un moment riche en stimulus (bruits, sensations tactiles, odeurs, …), ce qui peut être très perturbant.


Enfin, la tendance des autistes à suivre à la lettre les règles utiles fait que nous avons souvent beaucoup de mal à passer outre le comportement d’un autre utilisateur de la route qui ne serait pas aussi strict, voire à anticiper que quelqu’un puisse griller un feu rouge ou traverser sans regarder.


Passer le permis, un effort herculéen


Avant même d’envisager de conduire un véhicule plus intéressant que le vélo, la personne autiste va devoir passer le permis. C’est, bien souvent, le début des ennuis.


De nombreux autistes souffrent d'anxiété, ce qui n’aide pas, et peuvent avoir besoin de plus de temps pour maîtriser certains gestes ou séquences de gestes. Le fait de se trouver dans une voiture inconnue, à proximité d’une personne inconnue, peut ajouter au stress.


 D’avoir un instructeur qui minimise l’anxiété de ses élèves et adopte une attitude de type « il suffit de se relaxer ! » est souvent la cerise sur un gâteau pas terrible. On comprend comment, très vite, les leçons de conduite peuvent s’avérer terrifiantes – et je ne parle même pas encore de l’examen.


Mentionner que l’on est autiste lors de son inscription à l’auto-école peut parfois aider, mais parfois produire l’effet inverse si on se retrouve face à des instructeurs ayant des préjugés ou à une administration frileuse. 


J’ai moi-même eu l’expérience de tenter de m’inscrire dans une auto-école, pour m’entendre répondre que ce serait impossible sans mot de mon médecin expliquant que j’étais bel et bien capable de conduire. Dans la mesure où je n’en avais aucune idée, cherchant précisément à apprendre à conduire, cela n’a pas mené à grand-chose.

  

La progressivité

Je pense qu’il est pertinent de partir du principe que la plupart des autistes seront un jour capables de conduire, mais qu’il est important d’y aller progressivement. Pour beaucoup de neurotypiques, le code et une trentaine d’heures de formation vont suffire à ce qu’ils maîtrisent assez la conduite pour convaincre un instructeur. Grand bien leur fasse, mais pour une catégorie d’individus connus pour mal gérer l’imprévu, leur représentation de l’espace, le multi-tâche et les stimulus autour d’eux, on ne va pas se mettre la tête dans le sable, c’est sans doute un peu court.


Mieux vaut y aller plus en douceur, en commençant par exemple par distinguer tout ce qui concerne l’utilisation de la route (l’état de la chaussée, le suivi des trajectoires, la navigation, la signalisation routière, etc.) du pilotage du véhicule, et à n’apprendre que l’un des deux à la fois. La première partie peut se faire à pied, ou lorsque la personne autiste est à vélo ou qu’elle est passagère d’une voiture.


Passer par le vélo peut être une étape intéressante : apprendre à rouler à vélo est notoirement plus simple que d’apprendre à conduire une voiture, il est possible de s’entraîner longuement sur des parkings ou dans des parcs avant de prendre la route pour de bon, et le vélo offre toujours, contrairement à la voiture, l’avantage que son utilisateur peut mettre pied à terre s’il se sent un peu dépassé. Dès que la personne maîtrise le vélo, il lui est possible de rouler avec les automobilistes et ainsi de gagner petit à petit en expérience. Ainsi, lorsqu’elle désirera passer son permis, la seule chose qu’elle devra réellement apprendre sera à conduire une voiture, et non pas à conduire une voiture et comment se comporter sur la route.


Je suis autiste et conduire me terrifie.


Ça arrive, et dans la mesure où des tas de gens ont des accidents de voiture tous les jours, je dirais que ce n’est pas déraisonnable. Conduire peut être très difficile, et faire très peur. Oui, posséder son propre véhicule est bien sûr une source d’indépendance et de confiance en soi, mais selon les conditions dans lesquelles une personne vit, ce n’est pas forcément obligatoire.


Si une personne ne se sent pas prête à conduire une voiture ou à apprendre à conduire, il n’y a aucune honte à utiliser des méthodes de transport alternatives : transports en commun, vélo, scooter, ou bonne vieille paire de pieds.


Dans l’éventualité où quelqu’un vivrait dans des circonstances où il est quasi-obligatoire de posséder une voiture mais que conduire la terrifie, je ne peux que suggérer d’apprendre de manière aussi progressive que possible, en renforçant toujours longuement ce qui est connu avant d’introduire de nouveaux éléments à maîtriser, mais aussi d’en toucher un mot au médecin traitant. Ce dernier pourra sans doute proposer des pistes afin d’aider la personne à gérer son anxiété.


Conclusion


Une personne autiste pourra-t-elle un jour conduire ? Ça dépend. De la personne, de son environnement, des circonstances dans lesquelles elle va apprendre. Il me semble une bonne idée de toujours partir du principe que oui, à terme, cela devrait être possible – ne serait-ce que parce qu’il vaut mieux partir gagnant que perdant.


Comme toujours, nous devons néanmoins garder à l’esprit qu’une personne incapable d’acquérir une aptitude, ou capable de l’acquérir mais décidant de ne pas s’en servir parce que cela est trop coûteux en énergie ou en santé mentale pour elle, n’est en rien inférieure à une personne ne rencontrant pas ces difficultés.

Promis, je ne dis pas juste ça pour que mes proches arrêtent de me demander quand je passe le permis.

Autisme et conduite

07 juil. 2021 - Julie BOUCHONVILLE

https://bienetreautiste.com/blogs/infos/autisme-et-conduite 


Publier par: CSSR

10- L' anxiété et autisme

  

Comprendre l’anxiété pour mieux la vivre

31 mars 2021 - Julie BOUCHONVILLE

https://bienetreautiste.com/blogs/infos/autisme-et-conduite 

Sommaire

  • Qu’est-ce      que l’anxiété et le trouble anxieux ?
  • Quels      sont les symptômes de l’anxiété ?
  • Quel      impact a l’anxiété sur ceux qui en souffrent ?
  • Autisme      ou anxiété ?
  • Comment      lutter contre l’anxiété ?

  

L’anxiété chronique, ou trouble anxieux, est l’une des comorbidité les plus courantes de l’autisme. Pourtant, quand elle est présente depuis l’enfance, elle est parfois difficile à repérer parce que la personne concernée ne connaît simplement pas d’autre réalité... 


S’il n’existe pas de traitement pour l’autisme qui n’est, de toute façon, pas une maladie, il y en a en revanche plusieurs susceptibles d’agir sur l’anxiété chronique.

Ne souffrons pas inutilement, lecteur, et apprenons à mieux connaître l’anxiété pour ne pas la laisser nous pourrir la vie.


Qu’est-ce que l’anxiété et le trouble anxieux ?

L’anxiété, c’est un ensemble de sentiment de crainte et d’appréhension. Être anxieux n’est pas juste avoir peur : l’anxiété a en plus une composante de réflexion ou de rumination, de projection sur le futur ou l’hypothétique. Si l’on est poursuivi par un ours mécontent, on a peur. Si on réfléchit à de futures vacances dans la forêt durant lesquelles il est possible qu’on croise un ours et qu’on le mette en colère et qu’il se mette à nous poursuivre… là on est anxieux.


L’anxiété est normale et même utile lorsqu’elle a une cause : être anxieux à l’idée partir en vacances en ayant oublié de remplir correctement sa valise peut nous aider, dans une certaine mesure, à être très attentifs lorsque nous remplissons notre valise. Il est normal d’être anxieux lorsqu’on va au-devant de situations dangereuses ou très importantes : un peu d’anxiété avant de sauter en parachute ou de se marier est plutôt banal.


L’anxiété devient un problème lorsqu’elle envahit le quotidien et est moins bien justifiée. Quelqu’un qui ressent souvent de l’anxiété sans bonne raison aura ce qu’on appelle un trouble anxieux. Attention que, pour la personne concernée, l’anxiété peut effectivement sortir de nulle part mais elle aura aussi souvent une bonne raison : c’est le propre même du trouble anxieux que de nous convaincre que les choses sont bien pires, ou ont le potentiel d’être bien pires, qu’elles ne le sont réellement. Une personne anxieuse peut très bien réaliser d’un point de vue intellectuel que ce qui la préoccupe n’est pas grave, ses émotions sont en train de lui hurler le contraire.


Quels sont les symptômes de l’anxiété ?

J’ai un jour vu la description suivante, que je trouvais assez géniale : « C’est se sentir comme dans un film d’horreur, quand la musique se tend d’un seul coup mais qu’il ne se passe encore rien d’effrayant à l’écran. On sait que ça va arriver, la tension monte de plus en plus, mais il ne se passe encore rien. C’est ce moment, en boucle, pendant des heures. » 


L’anxiété peut se traduire différemment chez différentes personnes, surtout son aspect le plus physique. Voici quelques symptômes possibles :


- Douleurs à l’estomac, sensation de nœud à l’estomac ou dans la poitrine

- Sueurs froides

- Respiration superficielle

- Rythme cardiaque rapide

- Tension élevée

- Mains qui tremblent (voire tout le corps qui tremble)

- Maux de tête

- Vision trouble

- Besoin d’uriner répété

- Diarrhée


Chez les enfants, ces symptômes seront parfois plus diffus ou vagues, avec des pleurs, des douleurs au ventre ou à la poitrine difficiles à caractériser et une certaine irritabilité générale.


Sur le plan émotionnel, la personne anxieuse peut ressentir une sensation d’appréhension terrible, comme si quelque chose d’affreux allait se produire. Elle peut avoir envie de pleurer, de se cacher ou de s’enfuir, de crier. Elle pourra avoir des pensées cycliques : un enchaînement de pensées, souvent négatives, qui tournent en boucle et empêchent de se concentrer sur autre chose.


La personne qui ressent de l’anxiété va souvent essayer de se soustraire à ce qui cause son angoisse : quelqu’un qu’un sujet de conversation met mal à l’aise, par exemple, va tenter de parler d’autre chose ou de quitter la pièce. Si c’est impossible, ou si l’anxiété n’a pas de motif identifiable, la gravité des symptômes peut augmenter jusqu’à déclencher chez la personne concernée une crise d’angoisse. La crise d’angoisse, c’est un état extrême dont les symptômes ressemblent à ceux de l’anxiété mais en plus intenses. Cela peut inclure :


- Des vertiges

- Des tremblements musculaires

- Des palpitations cardiaques voire l’impression de faire une crise cardiaque

- Des nausées

- De la confusion

- La sensation d’étouffer

- Une sensation générale de perte de contrôle

- L’envie de fuir


Quel impact a l’anxiété sur ceux qui en souffrent ?

L’anxiété, je crois que mon lecteur l’a compris à ce stade, est très invalidante. Avoir la sensation que l’on est sur le point de mourir ou de vivre un évènement horrible est épuisant et difficile à supporter, même lorsqu’on est capable de relativiser et de se répéter que ce n’est qu’une impression et que tout va en fait très bien. Convaincre son instinct de survie qu’il se trompe est compliqué.


La personne qui souffre d’anxiété va souvent développer des comportements d’évitement pour se placer le moins possible dans des situations susceptibles de déclencher ses angoisses. Hélas, l’évitement ne fait que renforcer le problème : les situations anxiogènes deviennent d’autant plus notables qu’elles sont exceptionnelles. Si on les rencontre peu, on ne peut pas les « banaliser ».


L’anxiété a de plus des vertus contaminantes : une situation qui n’était pas source d’angoisse peut le devenir par association avec une autre, et petit à petit, la personne anxieuse peut faire de moins en moins de choses sans risquer la crise d’angoisse.


Autisme ou anxiété ?

Imaginons qu’une personne autiste soit très anxieuse vis-à-vis de certaines situations de son quotidien. Souffre-t-elle d’un trouble anxieux pour autant ? Sans tomber dans le diagnostic à distance, ce qui peut aider à faire la différence est essentiellement la source des émotions, c’est à dire leur déclencheur, ainsi que leur intensité, et leur récurrence.


Prenons tout de suite un exemple. Imaginons une personne autiste ayant du mal à traiter les sons, comme cela arrive souvent. Si cette personne se sent un peu inquiète à l’idée de passer un entretien professionnel par téléphone, son malaise est plutôt raisonnable : les enjeux sont élevés et elle s’apprête à faire quelque chose dont elle sait très bien que ce n’est pas son point fort.


Si cette perspective la terrifie au point de lui déclencher une crise d’angoisse, en revanche, cela peut faire penser à un trouble anxieux 


De même, si la personne se retrouve très souvent à ressentir de l’anxiété, même si c’est toujours plus ou moins justifié, cela peut mettre la puce à l’oreille : comme mentionné plus haut, souvent, la personne anxieuse peut identifier une source à son anxiété et la rationaliser. Il n’empêche que si elle est anxieuse huit heures par jour, à moins de vivre dans une zone de guerre, il y a sans doute un problème.


Comment lutter contre l’anxiété ?

Les méthodes ne manquent pas, ce qui est une bonne nouvelle. Même les méthodes qui ne marcheraient qu’un peu sont, dans mon optique, dignes d’un essai pour peu que leurs effets secondaires ne soient pas trop lourds : l’anxiété dégrade tellement la qualité de vie que si on peut ne serait-ce que la réduire, cela vaut la peine d’essayer.


Les méthodes psychologiques/comportementales vont reposer d’une part sur de bonnes habitudes d’hygiène de vie, d’autre part sur des modifications du comportement. L’hygiène de vie est importante : l’une des causes possibles de l’anxiété est le déficit en sérotonine, une hormone impliquée dans de nombreuses réactions. Pour optimiser son taux de sérotonine, il est important de :


- Dormir suffisamment : 7 h à 8 h par nuit pour un adulte

- Avoir une activité physique régulière : au moins 150 minutes par semaine et idéalement 300 minutes selon l’OMS.

- Manger équilibré

- Prendre régulièrement le soleil à des heures où le risque de coup de soleil est réduit


Les modifications du comportement pourront inclure, entre autres, des méthodes de méditation et/ou de pleine conscience visant à ancrer la personne afin qu’elle ne soit pas submergée par ses émotions. Un psychologue compétent sera à même de guider mon lecteur.


Une aide médicamenteuse pourra également être une option à envisager, avec des substances allant de la simple infusion de plantes à des anxiolytiques. Cet aspect du traitement est bien sûr celui qui comporte le plus d’effets secondaires, et dans tous les cas devra être discuté avec un médecin.



Comprendre l’anxiété pour mieux la vivre

31 mars 2021 - Julie BOUCHONVILLE

https://bienetreautiste.com/blogs/infos/autisme-et-conduite 


Publier par CSSR

11-Parkinson

   

La maladie de Parkinson et la conduite automobile

   

La conduite est une tâche complexe qui exige que vous soyez vigilant en tout temps et en mesure de réagir rapidement aux situations imprévues. Tout ce qui affecte votre capacité à conduire doit être sérieusement pris en compte. Cela inclut la maladie de Parkinson (MP), qui comprend des symptômes physiques, mentaux et émotionnels.


Les études démontrent que même les personnes en bonne santé vivent plus longtemps qu’ils ne sont en mesure de conduire, et cela est le plus souvent causé par les problèmes de la vue qui se développent naturellement avec l’âge. 


Toutefois, la plupart des conducteurs ne planifient pas d’arrêter de conduire en vieillissant. Beaucoup de gens réalisent que leurs compétences de conduite diminuent, ce qui entraîne souvent une perte de confiance sur la route. 


Dans certains cas, la crainte de l’isolement ou de la perte d’autonomie l’emporte sur leur jugement concernant leurs compétences de conduite, ce qui entraîne leur déni de considérer ces dernières comme étant problématiques. Cela est particulièrement vrai chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson, car elles peuvent craindre qu’arrêter de conduire indique en soi que leur maladie progresse.


Si vous avez reçu un diagnostic de maladie de Parkinson, vous devez savoir comment la maladie affectera votre capacité de conduire. Cela vous aidera à vous préparer pour pouvoir continuer de faire vos activités même lorsque vous ne pourrez plus conduire.


La maladie de Parkinson (MP) est une maladie qui diffère d’une personne à l’autre. La conduite est une activité complexe qui requiert toute votre attention, tant au niveau physique, mental qu’émotionnel, et votre capacité de conduire en toute sécurité peut être affectée de différentes manières et à différents stades de la maladie.


 La MP peut nuire à votre conduite en affectant vos facultés mentales, votre concentration et votre capacité à accomplir plusieurs tâches en même temps. La lenteur des mouvements peut avoir un impact sur votre temps de réaction. Des changements dans votre perception visuelle peuvent nuire à votre capacité d’estimer les distances entre les voitures. L’efficacité des médicaments, les modifications apportées au véhicule et la mise à jour des compétences ne peuvent que retarder l’inévitable.


   

Évaluation des compétences de

conduite automobile

Après avoir reçu un diagnostic de la MP, et avant que vos symptômes ne soient trop avancés, vous devriez envisager une évaluation réaliste de vos compétences de conduite. Pour une personne atteinte de la maladie de Parkinson (PAMP), cette évaluation a deux objectifs : évaluer vos compétences générales de conduite en lien avec le vieillissement naturel et celles qui sont affectée par les symptômes de la maladie de Parkinson. Demandez à quelqu’un en qui vous avez confiance de vous accompagner en voiture pour évaluer votre conduite en utilisant cette liste de contrôle :

  


Compétences de conduite automobile

Se souvient de boucler sa ceinture de sécurité.


Oui/Non

 

 Vérifie et ajuste les rétroviseurs au besoin.


Déplace son pied d’une pédale à l’autre avec facilité.


S’arrête au bon moment et à la bonne distance.


Se souvient d’utiliser les signaux appropriés lors d’un   changement de voie ou

d'un virage.


Vérifie les angles morts en tournant le cou et le haut du   corps

aisément.


Reste dans sa voie sans dévier.


Conduit à la vitesse appropriée de manière constante.


Ajuste sa vitesse à la circulation et aux conditions   routières.


Obéit aux règles de la circulation, aux arrêts et aux   feux de circulation.


Cède le droit de passage, lorsqu’approprié.


Tient compte des autres voitures, des vélos, des   motocyclistes et des piétons sur

la route.


Réagit en temps raisonnable aux situations de conduite

changeantes.


Sait où il/elle est en tout temps, surtout sur les   routes familières.


Planifie les sorties et les virages.


Met le véhicule en mode stationnement après s’être   garé.



   Signes avant-coureurs

Les personnes qui éprouvent des difficultés liées à la conduite sont souvent conscientes de l’existence de plusieurs signes avant-coureurs indiquant que leurs compétences de conduite diminuent et que la sécurité pourrait s’avérer un problème. Les personnes atteintes de la maladie de Parkinson voudront peut-être réévaluer leur conduite de façon plus réaliste si l’une des situations suivantes s’est produite récemment :

  


Signes avant-coureurs

Avez-vous été impliqué dans des « incidents évités de justesse   » ou des « quasi- collisions »?


Oui/Non

 

Avez-vous été impliqué dans des accidents responsables ou   des accrochages?


Avez-vous reçu des coups de klaxons ou des commentaires   désagréables de la part d’autres conducteurs?


Des membres de la famille ou des amis ont-ils refusé de   monter dans la voiture lorsque vous conduisez?


Avez-vous perdu le droit de conduire avec vos petits-   enfants à bord?


Des membres de la famille ou des amis vous ont-ils dit   être préoccupés par votre

conduite automobile?


Avez-vous raté plusieurs tentatives consécutives de   garer votre voiture?


Avez-vous reçu des contraventions pour des infractions   routières?


Votre prime d’assurance automobile a-t-elle augmenté en   raison d’infractions routières ou d’accidents responsables?


Vous est-il arrivé de conduire et de vous perdre dans des   endroits familiers?


Avez-vous de la difficulté à lire les panneaux de signalisation   ou à voir les feux de circulation à temps pour réagir?


Avez-vous éprouvé des problèmes en répondant à des   situations de conduite

imprévues?


Avez-vous éprouvé des problèmes en répondant à des   situations de conduite

imprévues?


Avez-vous eu des moments de confusion, surtout sur les   routes familières?


Avez-vous eu des problèmes pour planifier vos sorties et   vos virages?


Avez-vous oublié de mettre la voiture en stationnement   une fois garé?



Améliorer ses compétences de conduite automobile

Chacun peut améliorer ses compétences de conduite automobile, en particulier les personnes atteintes de la maladie de Parkinson. Lisez attentivement ce qui suit :


• Demandez à votre médecin si vos médicaments peuvent affecter vos compétences de conduite automobile et soyez honnête lorsque vous éprouvez de la somnolence ou du vertige;


• Soyez conscient de votre niveau d’énergie tout au long de la journée et évitez de conduire si vos médicaments n’agissent plus sur les symptômes et ont perdu de leur efficacité;


• Pratiquez une bonne hygiène du sommeil autant que possible pour aider à contrer la fatigue et ne conduisez que lorsque vous êtes bien reposé;


• Évitez de conduire lorsque les médicaments ne fonctionnent pas de façon optimale;


• Restez en forme et actif physiquement pour maintenir une bonne mobilité et le temps de réaction nécessaires pour conduire et aider à maintenir votre niveau d’énergie;


• Faites des étirements pour le cou et le torse afin de garder la souplesse nécessaire pour regarder par- dessus votre épaule pendant la conduite;


• Maintenez une bonne posture afin d’être à l’aise et d’avoir une bonne visibilité pendant la conduite;


• Éliminez les distractions en conduisant, comme :

• écouter la radio,


• discuter avec un passager,


• l’utilisation d’un téléphone cellulaire, même lorsqu’équipé d’un dispositif mains libres. Une longue conversation peut s’avérer une distraction,


• manger ou boire.


• Évitez de conduire après la tombée de la nuit (notre vue change avec l’âge);


• Évitez de conduire par mauvais temps; • Choisissez des itinéraires familiers et faciles en dehors des heures de pointe, dans la mesure du possible;


• Envisagez d’utiliser un système GPS dans votre voiture;


• Partagez la conduite avec un autre conducteur autant que possible;


• Conduisez un peu plus lentement — mais demeurez dans la plage de vitesse sécuritaire;


• Tenez-vous-en aux déplacements de courte distance autant que possible.

   

Parler au conducteur atteint de la maladie

de Parkinson (PAMP)

Parler à quelqu’un de sa conduite automobile peut être difficile. Si vous avez remarqué une diminution des compétences de conduite chez une personne que vous connaissez et qui est atteinte de la MP, considérez faire ce qui suit :


Accompagnez la PAMP en voiture en tant que passager pour observer directement son comportement

au volant. Évaluez ses compétences de conduite en utilisant la liste de contrôle incluse dans cette brochure. Si vous avez des inquiétudes, ne les soulevez pas pendant

qu’elle conduit.


Discutez des comportements, et non de la personne atteinte de la maladie de Parkinson lorsque vous partagez vos préoccupations. Évitez de culpabiliser la personne. Voir les exemples suivants :

  

Dire   : Ne   Pas Dire :

 

« Tu semblais être un peu perdu à cette intersection et   je me sentais nerveux, car tu ne semblais pas savoir comment te sortir de   cette situation. »


« Tu étais totalement perdu à cette intersection. Tu n’avais   aucune idée de ce qu’il fallait faire et tu m’as fait peur! »

 

« Lors de notre sortie cet après-midi, tu ne roulais qu’à   30 km/h alors que la limite de vitesse était de 50 km/h durant la majorité de   notre trajet. As-tu remarqué les voitures qui nous suivaient au ralenti? Est-ce   que cela se produit souvent? »


« Tu conduisais si lentement cet après-midi que presque   toutes les voitures nous suivaient au ralenti. Tu n’as rien vu de cela? »

Zone de Texte: 3

La personne sera probablement sur la défensive et émotive. La conduite automobile est étroitement liée à notre indépendance et à notre estime de soi. Reconnaissez

le bon dossier de conduite antérieur de la PAMP, le cas échéant, et orientez la discussion vers le présent.

Zone de Texte: 4

Discutez de ses émotions et exprimez votre empathie. Reconnaissez que cesser de conduire est

une épreuve difficile qui nécessite une période de transition.

Zone de Texte: 5

Convenez ensemble d’un plan d’action et d’un échéancier. Des limites auto-imposées peuvent être l’option à considérer dans l’immédiat.

Zone de Texte: 6

Si vous rencontrez une résistance catégorique, parlez des risques. Discutez des risques et des dangers pour la PAMP et les autres si elle continue à conduire de manière non sécuritaire. Parlez-en à l’équipe de soins de santé pour obtenir de l’aide.

   

Alternatives au véhicule personnel

Dressez une liste pour planifier des moyens de transport alternatifs. Élaborez un plan de transition vers un style de vie sans conduite automobile. Voici quelques conseils :


• Explorez les transports en commun : • avantages économiques - moins dispendieux que de garder son véhicule

(entretien, assurances, stationnement etc.)


• transport pour les personnes handicapées et les personnes âgées et Il peut y avoir un service de

transport incluant du porte à porte


• Envisagez les services de conducteurs bénévoles offerts par certaines agences


• Informez-vous du coût pour les services de taxi, de Uber ou de LyftMD


• Demandez à un voisin retraité ou à un ami de vous conduire

   

Législation

La maladie de Parkinson est une maladie évolutive présentant à la fois des symptômes moteurs et non moteurs, et les médicaments utilisés pour traiter ces symptômes ont de nombreux effets secondaires. 


Le Conseil canadien des administrateurs en transport motorisé (CCATM), dans sa publication Détermination de l’aptitude à conduire au Canada (2015), affirme que « selon les résultats d’un petit nombre représentatif de recherches, les déficits fonctionnels associés à la maladie de Parkinson ou aux traitements connexes peuvent altérer l’aptitude à conduire ». 


Ils ajoutent qu’ « il y a également lieu de prendre en considération la fluctuation des effets des médicaments. », qui se traduit par des périodes au cours desquelles les médicaments n’ont plus d’effets sur les symptômes, comme avant qu’une dose ne puisse agir ou lorsqu’elle perd de son efficacité (phénomène ON/OFF).


Selon le CCATM, une réévaluation du conducteur est requise si « le conducteur souffre d’une condition médicale évolutive ». Une réévaluation du conducteur est requise au moins tous les cinq ans si la condition est progressive.


 Cependant, un intervalle de réévaluation peut être fixé à un an si « la fonction cognitive d’un conducteur est altérée et son trouble risque de s’aggraver au fil du temps ».


Le document Évaluation médicale de l’aptitude à conduire – Guide du médecin — 9e édition (2017) de

l’Association médicale canadienne stipule ce qui suit :

« Au début, la maladie de Parkinson n’affecte la coordination qu’en superficie et ne devrait donc pas affecter l’aptitude à conduire. 


La maladie progressant, l’altération de la vitesse des mouvements actifs et du temps de réaction peut commencer à rendre la conduite dangereuse.


 La situation peut être aggravée par une déficience cognitive associée, des effets secondaires de médicaments (ex. : somnolence, mouvements involontaires, hallucinations) et une réponse de plus en plus imprévisible aux médicaments menant à l’épuisement de l’effet thérapeutique en fin de dose, et par d’autres fluctuations motrices. »


 Ils ajoutent, « la principale préoccupation est un délai dans le temps de réaction en réponse à des conditions routières complexes, ce qui augmente le risque de collision. 


L’évaluation périodique de la rapidité de traitement cognitif aidera à déterminer les changements au temps de réaction. » Pour cette raison, des tests cognitifs peuvent être effectués régulièrement par votre équipe de soins de santé, suivi d’un examen de conduite pratique, si nécessaire.


Rappelez-vous que votre fournisseur de soins de santé est responsable d’identifier et d’évaluer les conducteurs qui peuvent être inaptes à conduire. Dans certaines provinces, les médecins sont légalement tenus de signaler certaines conditions médicales pouvant avoir une incidence sur la conduite automobile.


 Pour plus de renseignements, communiquez avec le ministère des Transports de votre province ou avec l’autorité compétente en matière de transport et de conduite automobile.


Il est important de se rappeler que conduire n’est pas un droit, mais un privilège qui comporte certains risques. Renoncer à votre permis de conduire peut être un processus bouleversant et chargé d’émotions. Il peut marquer la fin d’une étape dans votre vie en tant que conducteur et signifier une perte d’indépendance. 


Cela signifie également que de nombreuses activités auxquelles vous participiez auparavant ou que vous pratiquiez vous-même devront être modifiées ou effectuées par quelqu’un d’autre. Votre famille et votre équipe de soins de santé vous aideront à traverser ce processus difficile afin d’assurer votre sécurité et celle des autres.

   

Pour de plus amples informations sur les lois provinciales, communiquez avec le ministère des Transports de votre province.


QUÉBEC

1-800-361-7620

1-418-643-7620 (Québec)

1-514-873-7620 (Montréal) Case

postale 19600 succursale Terminus 333, boulevard Jean- Lesage Québec, PQ G1K 8J6

Yonge, bureau 316, Toronto ON M2P 2A91 1.800.565.3000 Parkinson.ca I parkinsonguideclinique.ca


4211, rue 

Article : Parkinson.ca

Publié par : CSSR

12- Inspection printanière

  

Comment bien préparer sa voiture pour le printemps.

Les conseils de MaNouvelleVoiture.com

Les statistiques révèlent que 72% des pannes 

printanières pourraient être évitées par une maintenance préventive adaptée à la saison. 


Comment faire l'entretien de sa voiture soi-même ?

Vous souhaitez prendre en main l'entretien de votre véhicule ? 


Plusieurs opérations basiques sont réalisables sans compétences particulières. Le contrôle des niveaux reste l'intervention la plus simple : une fois le capot ouvert, repérez les différents réservoirs transparents et leurs graduations pour vérifier l'huile moteur, liquide de frein et lave-glace.


Le remplacement des balais d'essuie-glaces s'effectue en quelques minutes : soulevez le bras, déclipsez l'ancien balai et installez le nouveau jusqu'au "clic" caractéristique.


 Pour l'habitacle, un nettoyage régulier avec un chiffon microfibre humide suffit à préserver tableau de bord et plastiques.


N'hésitez pas à vérifier mensuellement la pression des pneus à froid, en suivant les recommandations inscrites sur le montant de la portière conducteur. Un geste simple qui optimise sécurité et consommation.


Le retour des beaux jours apporte son lot de défis pour la carrosserie de votre voiture. La saleté accumulée pendant l'hiver, combinée au pollen printanier, nécessite une attention particulière pour éliminer efficacement les résidus de sel sous le châssis.


La révision mécanique de printemps.

Un check-up complet de votre véhicule permet d'anticiper 80% des pannes printanières. La vérification des organes essentiels comme la direction assistée, les freins et la suspension garantit votre sécurité sur la route.


Le rendez-vous chez votre garagiste doit inclure un diagnostic du liquide de refroidissement et des différentes durites, particulièrement sollicitées par les variations de température. 


Les professionnels recommandent également un contrôle approfondi des filtres, notamment celui d'habitacle qui protège des pollens printaniers.


La durée de vie de vos plaquettes de frein et la qualité de vos disques méritent une attention particulière après l'hiver. Un test de la distance de freinage vous assure une conduite sereine pendant les averses de printemps.


Changement de pneus : les bons choix

La bande de roulement de vos pneus mérite une attention particulière au retour du printemps. Les tests réalisés par les manufacturiers démontrent qu'une différence de 2 millimètres d'usure peut augmenter la distance de freinage de 15%.


Un contrôle visuel des flancs permet de repérer d'éventuelles craquelures ou déformations apparues pendant l'hiver. Pour un bon état optimal, la pression doit être vérifiée à froid, en suivant les recommandations inscrites.


Les professionnels préconisent de monter les pneus neufs sur l'essieu arrière, même sur les véhicules à traction avant, pour une meilleure stabilité. Cette opération, réalisable en garage ou par vos soins avec l'outillage adapté, garantit une tenue de route optimale pendant les averses printanières.


Les niveaux à vérifier absolument

Le printemps est la période idéale pour vérifier l'ensemble des niveaux de votre voiture. Commencez par un contrôle méthodique du niveau d'huile moteur, moteur froid et véhicule sur sol plat. Localisez la jauge, essuyez-la avec un chiffon propre, puis vérifiez que le niveau se situe entre les repères mini et maxi.


 Passez ensuite au liquide de refroidissement : son niveau doit se trouver entre les deux traits du vase d'expansion.


La vérification du liquide de frein nécessite un coup d'œil attentif au réservoir translucide situé près du maître-cylindre. Un niveau trop bas peut indiquer une usure importante des plaquettes. 


Complétez votre inspection par le liquide de direction assistée et celui du lave-glace, indispensable face aux averses printanières et aux pollens. Pour une sécurité optimale, renouvelez ces vérifications tous les 1000 kilomètres.


Grand nettoyage : intérieur et extérieur

Un nettoyage complet s'impose après les rigueurs de l'hiver. Les experts recommandent de commencer par l'aspiration minutieuse de l'habitacle, en retirant les tapis pour accéder aux moindres recoins. Les résidus de sel peuvent endommager les textiles si vous ne les traitez pas rapidement.


Les surfaces en plastique nécessitent un chiffon microfibre légèrement humide, associé à un produit spécifique non gras. Pour les sièges, optez pour une brosse douce et un shampooing adapté au type de revêtement.


La carrosserie mérite une attention particulière : commencez par un prélavage haute pression, puis utilisez deux seaux distincts pour le lavage - un pour l'eau savonneuse, l'autre pour le rinçage. Cette technique évite les micro rayures causées par les particules de saleté. Un séchage à la microfibre préviendra les traces calcaires.


La climatisation : entretien et vérification

La performance de votre climatisation dépend largement de son entretien régulier. Un nettoyage du circuit et le remplacement du filtre d'habitacle s'imposent au minimum une fois par an. Le niveau de gaz réfrigérant mérite une attention particulière : une perte naturelle de 20% par an peut réduire significativement l'efficacité du système.


Pour maintenir votre climatisation en bon état, adoptez quelques réflexes simples. Faites-la fonctionner 10 minutes chaque semaine, même en période froide. Cette habitude préserve les joints et le compresseur. Un traitement antibactérien annuel élimine les mauvaises odeurs et garantit un air sain dans l'habitacle.


La vérification du circuit par un spécialiste reste indispensable tous les deux ans. Cette intervention inclut le contrôle des différents composants et la recharge éventuelle en gaz réfrigérant pour un refroidissement optimal.


Batterie et système électrique au top

La santé de votre batterie mérite une attention particulière au printemps. Un diagnostic électronique permet de mesurer sa capacité de charge réelle et sa résistance interne. Les nouvelles technologies embarquées rendent cette opération plus précise, avec une marge d'erreur inférieure à 2%.


La vérification des cosses et des branchements s'avère essentielle pour prévenir les pannes. Un nettoyage des points de contact avec une brosse métallique élimine l'oxydation qui pourrait perturber le démarrage. Les bornes doivent être parfaitement serrées et protégées par une graisse spécifique.


Les alternateurs modernes supportent mal les variations de tension. Une mesure du voltage à la sortie de l'alternateur, moteur tournant, garantit le bon fonctionnement de votre système de charge. Cette valeur doit se situer entre 13,8 et 14,4 volts pour une voiture à l'arrivée du printemps.


Un bon ménage de printemps commence par l'inspection minutieuse des arrivées d'air et de la boîte à gants. La chaleur des prochaines semaines mettra à rude épreuve votre système de climatisation. Un produit spécial permet d'assainir les circuits en quelques minutes, éliminant les mauvaises odeurs accumulées pendant l'utilisation de la clim en hiver.


Le dessous de la voiture mérite une attention particulière au début du printemps. Les nids-de-poule peuvent avoir endommagé certaines parties sensibles. Un passage sur un pont permet de vérifier l'état des protections et d'anticiper d'éventuelles réparations.


Le pare-brise, fragilisé par les variations de température hivernales, nécessite un examen approfondi. Un traitement hydrophobe appliqué dès maintenant optimisera votre visibilité pendant les averses printanières.


 Pensez également à l'entretien intérieur : un nettoyage complet du chauffage évitera la prolifération des allergènes saisonniers.


Les conseils de MaNouvelleVoiture.com

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13- Premier véhicule

  

Dix conseils pour l'achat d'un premier véhicule

 1 août 2021

  • Par      CARFAX Canada

L'achat d'un premier véhicule est une expérience exaltante. Les choix sont innombrables : trouver le véhicule qui correspond à vos besoins, à votre budget et à vos préférences personnelles exige de la recherche, du temps et une mûre réflexion.


 Voici donc 10 conseils pour vous aider à trouver la voiture parfaite pour vous.


1. Déterminez quel type de véhicule conviendra le mieux à votre style de vie.

Avez-vous besoin d'un véhicule efficace sur le plan de la consommation de carburant pour effectuer de longs déplacements quotidiens, d'un camion pour transporter vos fournitures de travail ou d'une minifourgonnette qui peut contenir tous les membres de votre famille?


2. Établissez un budget.

Réfléchissez au type de véhicule que vous pouvez vous permettre. Désirez-vous un véhicule neuf ou usagé? Préférez-vous acheter d'un vendeur particulier ou d'un concessionnaire?


3. Faites une recherche au sujet des véhicules qui vous intéressent.

Internet est une excellente source de renseignements et de critiques. Vous pouvez aussi discuter avec vos amis et les membres de votre famille pour savoir quelles marques et quels modèles ils recommandent.


4. Posez toutes les bonnes questions au vendeur.

Dressez une liste de questions pour vous renseigner sur l'entretien du véhicule, sur les problèmes mécaniques et sur les motifs de la vente.


5. Inspectez l'intérieur et l'extérieur du véhicule.

Effectuez un examen complet de l'intérieur et de l'extérieur de la voiture. Recherchez les traces d'éclat de peinture, vérifiez sous le capot et dans le coffre arrière, et essayez les accessoires et les instruments de bord.


6. Faites un essai routier du véhicule.

Le fait de vous asseoir derrière le volant vous donnera une bonne idée de son comportement routier et vous permettra d'écouter les bruits pouvant indiquer la présence d'un problème.


7. Achetez un rapport d'historique de véhicule CARFAX Canada.

Si vous avez décidé d'acheter un véhicule d'occasion, le rapport CARFAX Canada vous donner des renseignements importants sur l'historique du véhicule, pour que vous preniez une décision d'achat éclairée.


8. Faites faire une inspection préalable à l'achat du véhicule.

Lors d'une inspection, le mécanicien examine le véhicule en profondeur afin de déterminer l'état esthétique et mécanique de celui-ci et de vérifier s'il répond aux critères de sécurité.


9. Entendez-vous sur un prix.

Négociez avec le vendeur pour convenir d'un prix qui vous satisfait tous les deux. Arrivez à un prix équitable qui tient compte de la condition actuelle du véhicule ainsi que de son historique.


10. Finalisez la vente.

Si vous achetez un véhicule auprès d'un concessionnaire, il peut vous guider dans les dernières étapes pour finaliser la vente. Cependant, si vous achetez un véhicule d'un particulier, vous devez être au courant des règlements en vigueur dans chaque province et vous y conformer.


Le rapport d’historique de véhicule le plus complet au Canada.

En tant qu’acheteur, évitez les problèmes cachés qui pourraient s’avérer coûteux. En tant que vendeur, établissez un lien de confiance et concluez la vente rapidement.

Obtenir le rapport


Article: Carfax

Publier: CSSR

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